Didier Reynders condamne l’assassinat de Mohamed Brahmi en Tunisie

BRUXELLES, Royaume de Belgique, 26 juillet 2013/African Press Organization (APO)/ — Le Vice-Premier Ministre et Ministre des Affaires étrangères Didier Reynders condamne le plus fermement possible l’assassinat du député du Front Populaire, Mohamed Brahmi, intervenu ce jeudi 25 juillet 2013 à Tunis, alors que se célébrait le jour de la Fête de la République. Il présente ses condoléances à sa famille et à ses proches, ainsi qu’aux dirigeants et aux membres de son parti.

Didier Reynders se joint à l’appel de la Haute Représentante de l’UE, Catherine Ashton, aux autorités tunisiennes, à faire au plus vite la lumière sur cet assassinat, ainsi que sur celui de Chokri Belaïd, perpétré le 6 février 2013 et dont les responsables n’ont, à ce jour, ni été arrêtés, ni traduits en justice.

Le choix de la violence doit être condamné par tous ceux qui sont attachés aux valeurs démocratiques. Le Ministre Reynders continue, personnellement, à croire profondément au potentiel de la Tunisie et des forces vives de la société tunisienne à trouver une réponse pacifique au crime odieux perpétré ce 25 juillet et à continuer à travailler de manière consensuelle à la poursuite et la finalisation du processus de transition démocratique, notamment par l’adoption d’une nouvelle constitution répondant aux aspirations du peuple tunisien.

Suite à l’assassinat de Mohamed Brahmi et les tensions subséquentes dans plusieurs villes de Tunisie, les Affaires étrangères recommandent aux voyageurs de faire preuve de la plus grande prudence lors de tous leurs déplacements et de se maintenir écartés de toute manifestation ou mouvement de foule. Il est conseillé de rester de préférence dans les zones touristiques.

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Madagascar / Prostitution et tourisme sexuel impliquant des enfants : au vu et au su de tous, en toute impunité

GENEVE, Suisse, 26 juillet 2013/African Press Organization (APO)/ — La Rapporteuse Spéciale des Nations Unies Najat Maalla M’jid a encouragé ce matin les autorités malagasys à redoubler d’efforts en vue de lutter efficacement contre le fléau de l’exploitation sexuelle des enfants, dûment protéger tous les enfants victimes de vente et d’exploitation sexuelle et les enfants à risque de l’être et sanctionner lourdement les coupables. Elle a par ailleurs exprimé sa grande préoccupation quant à la banalisation de l’exploitation sexuelle des enfants et à l’impunité dont jouissent les auteurs de ces crimes.

« Le fléau de l’exploitation sexuelle des enfants dans la prostitution et le tourisme sexuel est omniprésent et trop souvent justifié par la pauvreté. Sa croissance exponentielle, notamment depuis 2009, soulignée par tous les acteurs rencontrés, est alarmante. Son ampleur réelle reste difficile à déterminer, du fait, entre autres, de la résistance au signalement et la crainte de représailles. Par ailleurs, les faibles cas signalés sont très rarement suivis de sanctions lourdes, telles que stipulées dans la législation malagasy », a souligné Mme Maalla M’jid à l’issue de sa visite à Madagascar.

La Rapporteuse Spéciale a noté la pauvreté alarmante affectant 92% de la population, résultat de crises politiques successives. Cette grande précarité socio-économique affectant les familles et les communautés a largement accru la déscolarisation et la vulnérabilité des enfants à toutes les formes d’exploitation économique et sexuelle. Elle a également relevé avec inquiétude la stratégie de survie adoptée par un grand nombre de parents qui poussent leurs enfants à se prostituer.

Pendant sa mission à Madagascar du 15 au 26 juillet 2013, la Rapporteuse Spéciale a rencontré de nombreux représentants de l’Etat, des autorités locales, du système des Nations Unies, de la communauté diplomatique, des associations ainsi que du secteur privé. Elle s’est entretenue avec des enfants victimes et s’est rendue sur les lieux de prostitution et de tourisme sexuel, à Antananarivo, Tuléar, Nosy Be et Toamasina.

Si Madagascar dispose d’un cadre légal relativement complet, la mise en œuvre de ces lois souffre d’un manque d’effectivité du fait, entre autres, de la corruption, de l’impunité et des difficultés d’accès des enfants à des mécanismes de recours garantissant leur protection et leur sécurité. Les arrangements à l’amiable qui ont souvent lieu au niveau communautaire se font au détriment de l’intérêt de l’enfant, dont la voix reste très peu prise en compte.

Par ailleurs de nombreux efforts ont été entrepris: le Comité National de Protection de l’Enfance, les Réseaux de Protection, les centres d’écoute et de conseil juridique, la ligne verte et les campagnes de sensibilisation visant à lutter contre l’exploitation sexuelle des enfants. La Rapporteuse se félicite également des initiatives portées par les jeunes visant à prévenir et combattre ces crimes.

Malgré toutes ces initiatives, la prise en charge des enfants reste très incomplète et souffre d’un manque considérable de ressources. Les budgets alloués aux secteurs sociaux ont été drastiquement réduits et notamment celui du Ministère de la Population et des Affaires Sociales qui, tout en étant la pierre angulaire de la protection de l’enfance et de la protection sociale, ne dispose que de 0,68% du budget total de l’Etat.

La Rapporteuse Spéciale a souligné la gravité de la situation et la nécessité d’agir de toute urgence afin d’assurer un cadre protecteur intégré de l’enfance. L’éradication de la vente et l’exploitation sexuelle des enfants à Madagascar sera un travail de longue haleine, qui nécessitera d’assurer concomitamment le renforcement des capacités des institutions et des services destinés à l’enfance, la lutte contre l’impunité, une coordination intersectorielle opérationnelle, la mise en place de mécanismes de redevabilité, l’établissement d’alternatives socio-économiques durables et la promotion de normes sociales protectrices. Bien entendu ces mesures restent fortement tributaires d’un contexte politique stable respectueux des droits de l’homme.

Il est inacceptable que tant de vies d’enfants malagasys soient sacrifiées sous le prétexte de la crise politique et économique actuelle. La Rapporteuse a également insisté sur la nécessité de développer un tourisme responsable, éthique et protecteur en rappelant aussi la responsabilité des pays d’origine des touristes sexuels. Elle a encouragé la communauté internationale à appuyer la mise en place d’une protection intégrée de l’enfance et de plans de développement humain au niveau local, afin de combattre efficacement et durablement toute forme de violence, d’abus et d’exploitation des enfants.

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Madagascar / Prostitution et tourisme sexuel impliquant des enfants : au vu et au su de tous, en toute impunité

GENEVE, Suisse, 26 juillet 2013/African Press Organization (APO)/ — La Rapporteuse Spéciale des Nations Unies Najat Maalla M’jid a encouragé ce matin les autorités malagasys à redoubler d’efforts en vue de lutter efficacement contre le fléau de l’exploitation sexuelle des enfants, dûment protéger tous les enfants victimes de vente et d’exploitation sexuelle et les enfants à risque de l’être et sanctionner lourdement les coupables. Elle a par ailleurs exprimé sa grande préoccupation quant à la banalisation de l’exploitation sexuelle des enfants et à l’impunité dont jouissent les auteurs de ces crimes.

« Le fléau de l’exploitation sexuelle des enfants dans la prostitution et le tourisme sexuel est omniprésent et trop souvent justifié par la pauvreté. Sa croissance exponentielle, notamment depuis 2009, soulignée par tous les acteurs rencontrés, est alarmante. Son ampleur réelle reste difficile à déterminer, du fait, entre autres, de la résistance au signalement et la crainte de représailles. Par ailleurs, les faibles cas signalés sont très rarement suivis de sanctions lourdes, telles que stipulées dans la législation malagasy », a souligné Mme Maalla M’jid à l’issue de sa visite à Madagascar.

La Rapporteuse Spéciale a noté la pauvreté alarmante affectant 92% de la population, résultat de crises politiques successives. Cette grande précarité socio-économique affectant les familles et les communautés a largement accru la déscolarisation et la vulnérabilité des enfants à toutes les formes d’exploitation économique et sexuelle. Elle a également relevé avec inquiétude la stratégie de survie adoptée par un grand nombre de parents qui poussent leurs enfants à se prostituer.

Pendant sa mission à Madagascar du 15 au 26 juillet 2013, la Rapporteuse Spéciale a rencontré de nombreux représentants de l’Etat, des autorités locales, du système des Nations Unies, de la communauté diplomatique, des associations ainsi que du secteur privé. Elle s’est entretenue avec des enfants victimes et s’est rendue sur les lieux de prostitution et de tourisme sexuel, à Antananarivo, Tuléar, Nosy Be et Toamasina.

Si Madagascar dispose d’un cadre légal relativement complet, la mise en œuvre de ces lois souffre d’un manque d’effectivité du fait, entre autres, de la corruption, de l’impunité et des difficultés d’accès des enfants à des mécanismes de recours garantissant leur protection et leur sécurité. Les arrangements à l’amiable qui ont souvent lieu au niveau communautaire se font au détriment de l’intérêt de l’enfant, dont la voix reste très peu prise en compte.

Par ailleurs de nombreux efforts ont été entrepris: le Comité National de Protection de l’Enfance, les Réseaux de Protection, les centres d’écoute et de conseil juridique, la ligne verte et les campagnes de sensibilisation visant à lutter contre l’exploitation sexuelle des enfants. La Rapporteuse se félicite également des initiatives portées par les jeunes visant à prévenir et combattre ces crimes.

Malgré toutes ces initiatives, la prise en charge des enfants reste très incomplète et souffre d’un manque considérable de ressources. Les budgets alloués aux secteurs sociaux ont été drastiquement réduits et notamment celui du Ministère de la Population et des Affaires Sociales qui, tout en étant la pierre angulaire de la protection de l’enfance et de la protection sociale, ne dispose que de 0,68% du budget total de l’Etat.

La Rapporteuse Spéciale a souligné la gravité de la situation et la nécessité d’agir de toute urgence afin d’assurer un cadre protecteur intégré de l’enfance. L’éradication de la vente et l’exploitation sexuelle des enfants à Madagascar sera un travail de longue haleine, qui nécessitera d’assurer concomitamment le renforcement des capacités des institutions et des services destinés à l’enfance, la lutte contre l’impunité, une coordination intersectorielle opérationnelle, la mise en place de mécanismes de redevabilité, l’établissement d’alternatives socio-économiques durables et la promotion de normes sociales protectrices. Bien entendu ces mesures restent fortement tributaires d’un contexte politique stable respectueux des droits de l’homme.

Il est inacceptable que tant de vies d’enfants malagasys soient sacrifiées sous le prétexte de la crise politique et économique actuelle. La Rapporteuse a également insisté sur la nécessité de développer un tourisme responsable, éthique et protecteur en rappelant aussi la responsabilité des pays d’origine des touristes sexuels. Elle a encouragé la communauté internationale à appuyer la mise en place d’une protection intégrée de l’enfance et de plans de développement humain au niveau local, afin de combattre efficacement et durablement toute forme de violence, d’abus et d’exploitation des enfants.

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Attaque contre l’ambassade des Émirats arabes unis en Libye (25/07/2013)

PARIS, France, 26 juillet 2013/African Press Organization (APO)/ — Quai d’Orsay – Déclarations du porte-parole

La France condamne avec la plus grande fermeté l’attaque perpétrée jeudi 25 juillet contre l’ambassade des Émirats arabes unis à Tripoli.

Nous exprimons notre solidarité au personnel de cette représentation ainsi qu’aux autorités émiriennes.

La construction d’un État de droit et l’accélération du processus de transition selon un calendrier connu sont les conditions premières de la sécurité.

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Attaque contre l’ambassade des Émirats arabes unis en Libye (25/07/2013)

PARIS, France, 26 juillet 2013/African Press Organization (APO)/ — Quai d’Orsay – Déclarations du porte-parole

La France condamne avec la plus grande fermeté l’attaque perpétrée jeudi 25 juillet contre l’ambassade des Émirats arabes unis à Tripoli.

Nous exprimons notre solidarité au personnel de cette représentation ainsi qu’aux autorités émiriennes.

La construction d’un État de droit et l’accélération du processus de transition selon un calendrier connu sont les conditions premières de la sécurité.

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Tunisie – Assassinat de Mohamed Brahmi (25 juillet 2013)

PARIS, France, 26 juillet 2013/African Press Organization (APO)/ — Quai d’Orsay – Déclarations du porte-parole

Le président de la République a condamné hier avec la plus grande fermeté l’odieux assassinat de M. Mohamed Brahmi, député d’opposition, élu à l’Assemblée Nationale Constituante (ANC) en 2011, fondateur et ancien secrétaire général du Mouvement du peuple.

L’assassinat de Mohamed Brahmi comme celui de Chokri Belaïd ne sauraient rester impunis. Toute la lumière doit être faite sur ces crimes qui, comme l’a rappelé hier le ministre des affaires étrangères, visent à faire échouer la transition démocratique en Tunisie et la recherche d’une unité nationale.

Lors de sa visite d’État en Tunisie, les 4 et 5 juillet, le président de la République a réitéré le soutien de notre pays à la transition en cours et sa solidarité avec tous les Tunisiens attachés aux valeurs de la révolution. Il avait aussi appelé à l’esprit de responsabilité nécessaire à la préservation de l’unité nationale comme au succès de la transition démocratique, qui prévoit l’adoption d’une Constitution et l’organisation d’élections d’ici la fin de l’année.

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Tunisie – Assassinat de Mohamed Brahmi (25 juillet 2013)

PARIS, France, 26 juillet 2013/African Press Organization (APO)/ — Quai d’Orsay – Déclarations du porte-parole

Le président de la République a condamné hier avec la plus grande fermeté l’odieux assassinat de M. Mohamed Brahmi, député d’opposition, élu à l’Assemblée Nationale Constituante (ANC) en 2011, fondateur et ancien secrétaire général du Mouvement du peuple.

L’assassinat de Mohamed Brahmi comme celui de Chokri Belaïd ne sauraient rester impunis. Toute la lumière doit être faite sur ces crimes qui, comme l’a rappelé hier le ministre des affaires étrangères, visent à faire échouer la transition démocratique en Tunisie et la recherche d’une unité nationale.

Lors de sa visite d’État en Tunisie, les 4 et 5 juillet, le président de la République a réitéré le soutien de notre pays à la transition en cours et sa solidarité avec tous les Tunisiens attachés aux valeurs de la révolution. Il avait aussi appelé à l’esprit de responsabilité nécessaire à la préservation de l’unité nationale comme au succès de la transition démocratique, qui prévoit l’adoption d’une Constitution et l’organisation d’élections d’ici la fin de l’année.

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Visite d’un haut représentant de l’ONU aux droits de l’homme en République centrafricaine du 29 juillet au 2 août 2013

GENEVE, Suisse, 26 juillet 2013/African Press Organization (APO)/ — Le Secrétaire général adjoint aux droits de l’homme, Ivan Šimonović, se rendra en visite officielle en République centrafricaine du 29 juillet au 2 août 2013.

Au cours de cette visite de quatre jours, M.Šimonović rencontrera les autorités de transition, parmi lesquelles le Premier Ministre de transition, le Chef de l’Etat de transition, des ministres clefs, des dirigeants religieux ainsi que des membres d’organisations de la société civile et de la communauté internationale.

Le Secrétaire général adjoint entreprendra plusieurs visites de terrain à Bangui et prévoit de se rendre à Bambari, dans la préfecture d’Ouaka située dans le nord-est du pays, à environ 385 km de Bangui.

Le jeudi 1er août, le Secrétaire général adjoint aux droits de l’homme tiendra une conférence de presse dans les locaux de la BINUCA à Bangui, de 15h30 à 16h30.

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Ban ki-Moon condamne l’assassinat de Mohamed Brahmi

NEW YORK, 26 juillet 2013/African Press Organization (APO)/ — La déclaration suivante a été communiquée, aujourd’hui, par le Porte-parole de M. Ban Ki-moon, Secrétaire général de l’ONU:

Le Secrétaire général condamne l’assassinat, aujourd’hui, de Mohamed Brahmi, un membre de l’opposition et de l’Assemblée nationale constituante tunisienne. Le Secrétaire général note qu’il s’agit du second assassinat d’une personnalité politique en Tunisie cette année. Il appelle au calme et souligne que des actes de violence politique affaiblissent les institutions légitimes de l’État qui sous-tendent le processus démocratique. Cet acte odieux ne doit pas entamer les progrès que la Tunisie continue de faire dans sa transition démocratique, y compris en ce qui concerne la Constitution, et pour satisfaire les aspirations sociales et économiques du peuple tunisien.

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Didier Reynders à propos de la réunion du Conseil de Sécurité sur les Grands Lacs

BRUXELLES, Royaume de Belgique, 26 juillet 2013/African Press Organization (APO)/ — Le Vice-Premier Ministre et Ministre des Affaires étrangères Didier Reynders se réjouit de l’initiative prise par le Secrétaire d’Etat américain John Kerry de convoquer ce 25 juillet une réunion à haut niveau du Conseil de Sécurité des Nations Unies sur la situation en République démocratique du Congo et dans la région des Grands Lacs.

La Belgique a été invitée à participer à ce débat rehaussé de la présence de plusieurs ministres de la région, ainsi que du Secrétaire Général des Nations-Unies, du Président de la Banque mondiale et de l’Envoyée Spéciale pour les Grands Lacs Mary Robinson.

Cette réunion a permis l’adoption d’une déclaration qui rappelle le soutien de la communauté internationale à l’Accord-Cadre pour la Paix, la Sécurité et le Développement, ainsi qu’à la mise en place de la Brigade d’intervention de la Monusco et à l’engagement diplomatique personnel de Madame Robinson. Comme Didier Reynders a eu l’occasion de le souligner il y a quelques jours dans un communiqué, la récente reprise des combats autour de Goma rappelle l’urgence de mettre fin à l’action des groupes armés dans les Kivus.

Dans sa déclaration, le Conseil de Sécurité condamne la reprise des combats par la rébellion du M23 et exige son démantèlement et désarmement. De même, les autres groupes armés tels que les FDLR (Forces Démocratiques de Libération du Rwanda), les ADF- Nalu et les groupes Mai-Mai doivent être désarmés et démantelés. Plusieurs participants à cette réunion à haut niveau dont la Belgique, ont appelé à ce que tout soutien externe à ces groupes armés cesse et qu’il soit mis fin au plus vite aux violences et aux terribles exactions commises contre les populations civiles.

Dans deux semaines, Didier Reynders se rendra en République Démocratique du Congo et aura l’occasion d’évoquer ces différents points avec les autorités congolaises. Il se rendra ensuite à Nairobi, où se tiendra à la fin de ce mois le prochain sommet de la Conférence internationale pour la Région des Grands Lacs.

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