Détection d’or : Minelab en pointe de la révolution

LE CAP, Afrique du Sud, 6 février 2013/African Press Organization (APO)/ — Minelab (http://www.minelab.com), le leader global de la technologie de détection d’or et des détecteurs de métaux portables a annoncé la création de la division Gold Mining pour assister les prospecteurs et mineurs artisanaux au Soudan, Soudan du Sud, Zambie, Sierra Leone, Éthiopie et Somalie. Cette création a été annoncée pendant la Conférence Mining Indaba qui se tenait aujourd’hui au Cap, en Afrique du Sud.

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La récente découverte d’une pépite d’or de 5,5 kg à Ballarat en Australie, à 60 cm de profondeur, par un prospecteur équipé d’un détecteur Minelab GPX 5000 démontre les avantages offerts par la technologie de pointe Minelab. Cette pépite de Ballarat a été évaluée à plus de 300 000 USD.

Dans toute l’Afrique, des prospecteurs ont aussi pu goûter au succès grâce au détecteur d’or GPX 5000. Récemment, un prospecteur a découvert au Mali une pépite de 1,2 kg. Au cours des derniers mois, la technologie de détection d’or Minelab a permis d’autres découvertes au Zimbabwe (1118 g), au Kenya (550 g) et en Guinée (276 g).

Après avoir lancé son premier détecteur d’or portable en Australie en 1985, Minelab est resté à la pointe de la conception et de l’innovation des détecteurs de métaux pendant ces 28 années. La division Gold Mining de Minelab apportera une assistance spécialisée sur le marché mondial de la prospection aurifère artisanale et à ses communautés.

Peter Charlesworth, directeur général de Minelab, a déclaré :

« La nouvelle division Gold Mining offre un portefeuille spécialisé de produits, d’accessoires et de services d’assistance. Elle inclut des formations sur le terrain et théoriques, qui nous permettent de fournir des conseils d’experts sur les meilleures méthodes d’utilisation des détecteurs d’or Minelab. Notre objectif est d’aider les mineurs à obtenir des résultats dans les conditions de minéralisation les plus difficiles, en bénéficiant d’une rentabilité optimale avec une perturbation minimale de l’environnement.

Dans les régions où l’exploitation minière de subsistance traditionnelle existe depuis plusieurs générations, Minelab offre sa technologie de pointe, fournit des formations et de l’assistance pour permettre à ces communautés de transformer leurs activités d’exploitation minière et leurs vies. Dans toutes les régions du monde, la technologie Minelab fait la différence en améliorant l’efficacité, la productivité et la sécurité des mineurs artisanaux.

Notre nouvelle division Gold Mining est un développement réellement passionnant. Nous pensons que grâce à nos produits spécialisés et à nos programmes de formation, nous pouvons mettre à la disposition de tout prospecteur sérieux les moyens d’une exploitation minière sûre, efficace et rentable ».

Sheila Kelleher, directrice de la division Gold Mining de Minelab, a déclaré : « Mining Indaba est la plateforme idéale pour le lancement de notre division Gold Mining. Cette conférence attire une audience globale de spécialistes du développement et des investissements dans une industrie dont dépend une population globale nombreuse. Nous espérons que la contribution de la division Gold Mining de Minelab continuera de développer les relations entre la prospection, les communautés et l’environnement, en renforçant l’utilisation de la technologie des détecteurs d’or portables Minelab pour faire progresser les entreprises et améliorer la vie des communautés avec lesquelles nous travaillons ».

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour Minelab International Ltd.

Demandes d’information

Contacts pour les agences

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Minelab International Ltd

Unit 207, Harbour Point Business Park

Little Island, Co. Cork, Irlande

Tél. : +353 (0)21 423 2352

Fax : +353 (0)21 423 2353

E-mail : minelab@minelab.ie

Informations supplémentaires

À propos de la technologie des détecteurs d’or manuels Minelab

Minelab a lancé son premier détecteur d’or portable sur le marché australien en 1985. Conçu par Bruce Candy, un physicien réputé, sa technologie révolutionnaire a bouleversé le monde de la prospection en permettant de détecter des pépites alluviales (d’un poids inférieur au gramme) dans des sols à forte minéralisation. Les produits Minelab dominent le secteur grâce à leur puissance de lecture des sols et leur sensibilité constante aux filons les plus fins à des profondeurs stupéfiantes.

À propos du détecteur d’or GPX 5000 Minelab

Le GPX 5000 Minelab est un détecteur d’or incomparable. Il est capable de détecter des pépites d’or de toutes les tailles, depuis les pépites de moins d’un gramme jusqu’à l’insaisissable pépite qui vous permettra d’arrêter de travailler, ou de tout ce qu’il y a entre les deux. Il intègre les technologies MPS, DVT et SETA leaders de l’industrie, combinées avec la capacité légendaire du GPX à lire à travers la minéralisation des sols pour atteindre des profondeurs remarquables sans perdre sa sensibilité aux plus petites pépites, grâce à l’Atout profondeur du GPX.

À propos de la gamme des détecteurs d’or Minelab

Les détecteurs d’or spécialisés de Minelab révolutionnent la recherche des pépites d’or dans certaines conditions de minéralisation parmi les plus difficiles de la planète. Depuis le X-TERRA 705 Gold Pack pour prospecteurs débutants, jusqu’au modèle Eureka Gold destiné à l’utilisateur plus expérimenté, ou les modèles GPX 4800 et GPX 5000 qui offrent des performances de pointe, chaque détecteur offre des fonctions et des avantages uniques. Mais tous intègrent la première technologie mondiale et la garantie Minelab des meilleures performancesk même dans les conditions de prospection les plus difficiles.

À propos de Minelab

Minelab (http://www.minelab.com) est une entreprise née et développée en Australie, plusieurs fois primée, qui a su conquérir les marchés internationaux et prendre le leadership global dans ses principaux domaines d’activité. Basée à Torrensville, en Australie du sud, avec des sièges régionaux à Cork en Irlande et à Chicago aux USA, Minelab est une entreprise spécialiste des technologies électroniques de pointe. Depuis sa création en 1985, Minelab est le fournisseur leader mondial des technologies de détection des métaux, pour les consommateurs et les besoins humanitaires de déminage. Grâce à son engagement dans la recherche, le développement et la conception innovante, Minelab est aujourd’hui un des principaux fabricants mondiaux de produits de détection de métaux portables. Depuis 28 ans, Minelab a introduit sur le marché plus de technologies innovantes et pratiques que tous ses concurrents, et a porté le secteur de la détection de métaux à de nouveaux niveaux d’excellence. Minelab est une entreprise du groupe Codan Limited (ASX: “CDA”).

Le scandale de l’invisibilité

ADDIS ABEBA, Ethiopie, 22 mai 2013/African Press Organization (APO)/ — Alors que l’Afrique célèbre les 50 ans de la création de l’Organisation de l’unité africaine, devenue l’Union africaine, un partenariat entre l’Union africaine, la Banque africaine de développement, la Commission économique pour l’Afrique et les institutions des Nations Unies exhorte les chefs d’État et de gouvernement africains à se pencher, en tant que priorité politique, sur l’efficacité des systèmes d’enregistrement des faits d’état civilet desstatistiques vitales.

Avec une démographie en hausse, plus d’un milliard de personnes en Afrique dont 60 pour cent ont moins de 18 ans, des systèmes permettant de s’assurer que chacun estrecensé et qu’il existe des statistiques vitales liées aux naissances et aux décès, constituent un investissement indispensable pour l’avenir. Actuellement, seulement 44 pour cent des enfants de moins de cinq ans en Afrique sont recensésalors que des millions d’autres ne sont pas protégés par des documents d’identité légaux.

« Il ne faut pas oublier que l’intégration de l’Afrique ne concerne pas seulement l’intégration politique et économique. La libre circulation des personnes est toute aussi importante et cruciale pour notre intégration. Il ne peut y avoir de gestion efficace si nous ne savons pas qui sont nos citoyens », a déclaré Mme Nkosazana Dlamini-Zuma, Présidente de la Commission de l’Union africaine.

« Je suis certaine que vous n’avez pas besoin de convaincre de l’importance de statistiques vitales générées par des systèmes d’enregistrement des faits d’état civil. Nous devrions nous lancer dans une campagne sérieuse à l’échelle du continentpour sensibiliser nos citoyens et leur faire prendre conscience de cette nécessité, de sorte qu’en collaborant avec les gouvernements, nous puissions améliorer l’harmonisation des faits d’état civil et des statistiques vitales», a-t-elle ajouté.

Depuis de nombreuses années, les pays sont aux prises avec des systèmes de statistiques inefficaces qui rendent difficile de collecter des informations en temps réel sur les populations. L’avènement des nouvelles technologies, en particulier la couverture étendue des téléphones cellulaires, couplé à une meilleure intégration entre les différents départements gouvernementaux, a conduit à de nouvelles possibilités d’accélérer les progrès.

«Pour que ce continent exploite pleinement son potentiel, il faut que chaque pays investissent dans des systèmes concrets de collecte de données qui gardent une trace des statistiques vitales pour faire en sorte que tous les citoyensaient une identité légale garantie et protégée, mais également pour tenir compte des tendances démographiques et aider à fournir des données sur une base continue afin de planifier un avenir meilleur aux enfants», a déclaré Carlos Lopes, Secrétaire exécutif de la Commission économique pour l’Afrique.

Alors que l’Union africaine cherche une plus grande intégration économique et sociale, des systèmes d’enregistrement modernes qui fournissent des preuvesd’une identité légale et des documents juridiques, seront une contribution précieuse pour faciliter la circulation des personnes, l’ouverture du commerce transfrontalier et le transfert de compétences et de connaissances entre les nations.

Beaucoup de gens, surtout les personnes très pauvres et très marginalisées, sont souvent empêchés d’acquérir un certificat de naissance en raison des distances, du coût et des obstaclesadministratifs.

«Le bien-être futur d’un enfant commence avec son identité juridique. Ce droit est inscrit dans la Convention relative aux droits de l’enfant et dans la Charte africaine des droits et du bien-être de l’enfant », a déclaré M. Martin Mogwanja, Directeur exécutif adjoint de l’UNICEF. « L’enregistrement d’un enfant à la naissance jette les bases de son avenir en tant que citoyen. C’est un élément indispensable pour être sûr qu’il ait accès aux services minimums et puisseêtre protégé pendant son enfance ».

Déjà, de nombreux pays intègrent actuellement des services de santé pour s’assurer qu’il existe un mécanisme centralisé pour recenser les naissances, les décès et les maladies. Beaucoup de centres de santé sont maintenant des sites où l’état civil peut recueillir des informations et ainsiépargner aux familles du temps et des effortspour utiliser leurs services.

Même si des effortssont déployés pour amener les pays à évaluer le coût de leurs projets, davantage de ressources sont nécessaires pour faire en sorte que les systèmes administratifs soient renforcés dans les pays, compte tenu en particulier de la croissance démographique, et qu’il soit possible de faire coïncider la demande et le grand nombre de personnes qui ont besoin de services.

LeProgramme africain d’amélioration accélérée d’enregistrement des faits d’état civil et d’établissement destatistiques, lancé conjointement en 2010 par l’Union africaine, la CEA, la BAD et d’autres partenaires des Nations Unies comme l’UNICEF, le FNUAP, le HCR, l’OMS et le Réseau de métrologie sanitaire(HMN), ont pour objectif de travailler avec les gouvernements pour mettre en place des systèmes CRVS entièrement fonctionnels et complets grâce à une approche plus pragmatique qui repose sur de solides dispositions législatives, des opérations efficaces et des systèmes de gestion au sein de la structure administrative et politique donnée du pays.

Transformer l’agriculture, stimuler la croissance et mettre fin à la pauvreté en Afrique

WASHINGTON, 22 juillet 2013/African Press Organization (APO)/ — L’Afrique subsaharienne recense près de la moitié de toutes les terres utilisables non cultivées du monde mais, à ce jour, le continent n’est pas parvenu à développer les 202 millions d’hectares de terres disponibles pour mieux lutter contre la pauvreté, générer de la croissance, créer des emplois et promouvoir une prospérité partagée.

Selon un nouveau rapport de la Banque mondiale intitulé « Securing Africa’s Land for Shared Prosperity », rendu public aujourd’hui, les pays africains et les communautés pourraient mettre fin aux « accaparements des terres », accroître leur production agricole et améliorer leurs perspectives de développement, s’ils parviennent à moderniser, au cours de la décennie, les procédures complexes qui régissent le droit foncier et la gestion des terres en Afrique. L’Afrique a le taux de pauvreté le plus élevé au monde avec 47,5% de la population vivant avec moins d’1,25 dollar EU par jour.

« Malgré ses abondantes richesses en terre et en ressources minières, l’Afrique reste pauvre », déclare Makhtar Diop, vice-président de la Banque mondiale pour la Région Afrique. « Améliorer la gouvernance foncière est un impératif pour accélérer la croissance économique et faire en sorte qu’elle s’accompagne d’une réduction sensible de la pauvreté et créer plus d’opportunités pour les Africains, notamment pour les femmes qui représentent 70 % des exploitants agricoles du continent mais n’ont pas toutes accès aux terres à cause des lois coutumières. Le statu quo est inacceptable et la situation doit évoluer afin que tous les Africains puissent bénéficier de leurs terres».

Le rapport souligne que plus de 90% des terres rurales agricoles en Afrique ne sont pas enregistrées ce qui a pour conséquence de faciliter des phénomènes tels que l’accaparement des terres et l’expropriation sans dédommagement substantiel. Cependant, le rapport « Securing Africa’s Land for Shared Prosperity », citant des expériences pilotes menées avec succès dans des pays africains comme le Ghana, le Malawi, le Mozambique, la Tanzanie et l’Ouganda, propose un plan d’action en 10 étapes qui pourrait contribuer à révolutionner la production agricole, mettre un terme à « l’accaparement des terres » et éradiquer l’extrême pauvreté en Afrique.

Un plan d’action préconisant réformes et investissements

• Encourager les réformes et les investissements visant à améliorer le titrage et l’enregistrement des terres communales et individuelles.

• Régulariser les droits fonciers des squatters qui occupent des terrains publics, les bidonvilles abritant 60% des citadins africains.

• Améliorer la gouvernance foncière et lutter contre la corruption endémique en matière de gestion des terres qui, dans bon nombre de pays d’Afrique, heurte les intérêts des pauvres en maintenant le statu quo.

• Mobiliser la volonté politique des gouvernements africains afin de réformer le système foncier et encourager les partenaires au développement à soutenir ses réformes financièrement et politiquement.

Le nouveau rapport évalue à 4,50 milliards de dollars EU la somme que devront débourser sur 10 ans les pays africains et leurs partenaires au développement ainsi que le secteur privé, pour intensifier les réformes foncières et les investissements en la matière.

« Améliorer la performance et la productivité du secteur agricole en Afrique est indispensable si l’on veut une croissance généralisée, créer des emplois, attirer les investissements et une réduction significative de la pauvreté », souligne Jamal Saghir, directeur du développement durable pour la région Afrique de la Banque mondiale. « La gouvernance foncière s’avère un moyen efficace de propulser l’Afrique sur la voie du changement et garantir un meilleur avenir pour tous les Africains ».

Des conditions propices au changement

La flambée des prix des denrées de base et l’augmentation des investissements directs étrangers font qu’il est d’autant plus rentable d’investir dans la gouvernance foncière qui se traduit par de meilleurs rendements agricoles, un meilleur accès aux marchés et des prix plus avantageux. La plupart des pays d’Afrique ont déjà adopté des textes de lois reconnaissant les droits fonciers coutumiers et garantissant les droit des femmes à la propriété foncière, droits qu’il est cependant essentiel de renforcer.

De plus, les nouvelles technologies de l’information comme les satellites peuvent fortement réduire le coût d’administration des terres. En Afrique, un nombre croissant de pays ont recours à ces technologies pour réduire les frais de cartographie et topographie et ils informatisent leurs cadastres afin de réduire la corruption et alléger les procédures administratives.

Vingt-six pays africains ont mis en place au moins une station de référence à fonctionnement continu (CORS) et environ 50 CORS communiquent des données au système de référence géodésique africain qui, une fois achevé, fournira un cadre de référence géodésique unifié à travers le continent.

Les défis persistent

Avec seulement 10% des terres rurales enregistrées en Afrique, l’absence de gouvernance foncière fait que le transfert de propriété prend deux fois plus de temps et coûte deux fois plus cher par rapport aux pays industrialisés. De plus, la faible gouvernance est la cause principale de corruption dans le secteur foncier.

Le rapport souligne qu’ « à moins que les droits communaux et individuels ne soient enregistrés et que la gouvernance des terres ne soit améliorée, la récente vague d’investissements directs étrangers en Afrique subsaharienne ne se traduira pas par une croissance inclusive et durable, car la spoliation des communautés locales causera des troubles et les investissements ne porteront pas leurs fruits comme on l’a vu à Madagascar en 2009».

Le rapport cite des exemples de gouvernements africains qui sont parvenus à faire passer des lois difficiles et à progressivement réformer le système foncier au profit des communautés les plus pauvres. Illustrant la nécessité de renforcer les capacités administratives, le rapport souligne que le Ghana, le Kenya et l’Ouganda n’ont chacun pas plus de 10 arpenteurs-géomètres professionnels pour un million d’habitants contre 197 en Malaisie et 150 au Sri Lanka. Sur les 206 arpenteurs agréés du Kenya, 85 seulement étaient en activité. Le rapport fait remarquer qu’il est futile de renforcer les capacités sans réaliser des investissements complémentaires dans l’administration foncière.

« Les questions de gouvernance foncière sont au premier plan et au cœur du défi de développement de l’Afrique », déclare Frank Byamugisha, auteur du rapport et spécialiste des questions foncières pour la région Afrique de la Banque mondiale. «Ce rapport offre une feuille de route utile, axée sur les politiques pour garantir les droits fonciers des Africains en vue de promouvoir une prospérité partagée».

En 2002, au moins 20 pays d’Afrique subsaharienne avaient reconnu les droits fonciers coutumiers et l’égalité des sexes en la matière, un nombre qui a pratiquement doublé. La Commission de l’Union africaine a élaboré un plan stratégique de cinq ans pour la mise en œuvre d’une politique foncière d’ici 2016.

Le rôle de la Banque mondiale

Comme le souligne ce rapport, l’Afrique possède la plus grande superficie de terres cultivables au monde et garantir l’accès à la terre est fondamental pour ses millions d’habitants. Investir dans la gouvernance foncière bénéficiera tant au gouvernement qu’aux investisseurs et aux personnes privées de droits fonciers.

Le Groupe de la Banque mondiale approuve les directives volontaires pour une gouvernance responsable des régimes fonciers applicables aux terres, aux pêches et aux forêts dans le contexte de la sécurité alimentaire nationale. Ces directives représentent un instrument international de vaste portée pour enrichir des réformes de politique spécifiques, notamment nos propres procédures et directives destinées à nos clients. Le Groupe de la Banque mondiale œuvre déjà de concert avec les pays en vue d’appliquer ces directives, en mettant plus particulièrement l’accent sur l’Afrique.

Le Groupe de la Banque mondiale et ses partenaires ont aussi élaboré le mécanisme intitulé « Land Governance Assessment Framework » (LGAF) en tant qu’outil de diagnostic pour évaluer la situation des terres au niveau des pays. Des évaluations du LGAF ont été réalisées ou sont en cours dans 18 pays, dont 10 en Afrique. Le Groupe de la Banque mondiale soutient 24 projets de gouvernance foncière pour un montant de 928 millions de dollars EU, sans doute la somme la plus importante investie dans ce domaine par une agence de développement international.

Pour en savoir plus:

Communiqué de presse: L’accès à la terre : une nécessité vitale pour les pauvres

Rapport complet:

http://www.worldbank.org/en/region/afr/publication/securing-africas-land-for-shared-prosperity

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Forum Afrique – 100 innovations pour un développement durable

PARIS, France, 16 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Parce qu’une des clés du développement durable réside dans l’innovation, le Ministère des affaires étrangères, sous l’impulsion du Ministre délégué chargé du Développement, Pascal Canfin, lance l’initiative : Forum Afrique – 100 innovations pour un développement durable, en partenariat avec l’Agence française de Développement (AFD).

Pour la première fois, la France organise un événement entièrement destiné à soutenir et à aider à la diffusion d’innovations pour le développement durable, portées par des innovateurs africains, dans de nombreux domaines : la santé, l’environnement, l’agriculture, la sécurité alimentaire, l’éducation, l’égalité femmes-hommes, les nouvelles technologies ou encore l’appui aux entreprises…

Ce forum donnera lieu à un événement à Paris, le 5 décembre 2013, en amont du sommet de l’Elysée pour la Paix et la sécurité en Afrique, qui permettra aux innovateurs sélectionnés de présenter leurs innovations et de les mettre en relation avec des partenaires financiers, des créateurs d’entreprises, des scientifiques, des ONG…

Inventions scientifiques, création de micro-entreprises, découvertes innovantes, innovations sociales, recyclage de matières premières…. autant d’innovations initiées en Afrique qui pourront ainsi trouver soutien et diffusion lors de leur présentation au « Forum Afrique – 100 innovations pour un développement durable ».

Afin de proposer leur innovation au comité de sélection, constitué d’un panel de personnalités et d’experts renommés comme Esther Duflo, les porteurs de projets sont invités, dès aujourd’hui et jusqu’au 15 octobre, à remplir un dossier de candidature en ligne.

« A chacun de mes déplacements en Afrique, je suis frappé par le nombre d’entrepreneurs, d’agriculteurs, de chercheurs, d’ONG qui chaque jour innovent, trouvent des solutions pour permettre un développement nouveau. Ces innovatrices et innovateurs inventent l’Afrique de demain, lui ouvrent un nouvel horizon soutenable et prometteur, et il s’agit pour la France de contribuer à l’élargissement de cet horizon. Leurs innovations méritent d’être connues, soutenues, et leurs auteurs mis en relation avec des scientifiques, des partenaires financiers, des créateurs d’entreprises. C’est aussi le rôle de la France de créer des passerelles avec tout celles et ceux qui innovent, qui créent de la richesse, de l’emploi, autour de projets concrets qui permettent et permettront au plus grand nombre de sortir de la pauvreté. » souligne Pascal Canfin, ministre délégué chargé du développement.

Anne Paugam, directrice générale de l’AFD ajoute : « Je me réjouis de voir l’AFD associée à l’organisation du Forum Afrique – 100 innovations pour un développement durable. Le continent dans sa diversité est en pleine transformation. Il est confronté à des enjeux qui nécessitent des solutions nouvelles. Les intervenants publics et privés africains sont porteurs d’initiatives pour accompagner un développement économique et humain durable. Cette créativité doit être encouragée et promue là où c’est nécessaire. C’est aussi le rôle de l’Agence française de Développement. »

Au-delà des qualités d’entreprenariat et de viabilité économique, les projets seront choisis pour leurs contributions au développement durable et leurs dimensions sociales et environnementales.

Les modalités pratiques

Pour postuler, les candidats doivent remplir les critères de sélection suivants :

être citoyen(ne) d’un pays d’Afrique subsaharienne ;

être résident (e) sur le continent africain ;

avoir développé et mis en œuvre une innovation (sociale, écologique, technologique, financière, économique, etc.) qui répond aux objectifs du développement durable ;

présenter une innovation qui doit avoir déjà été réalisée ou expérimentée (au moins à l’échelle locale).

Les étapes-clés

– 15 octobre 2013 : date limite de dépôts des dossiers

– 5 décembre 2013 : présentation des projets lors du Forum Afrique

Un panel d’experts

Sur les 100 projets, 21 seront sélectionnés par un panel composé de grandes figures du développement : Winnie Byanyima, Directrice exécutive d’Oxfam International ; Jean-Michel Séverino, ancien Directeur Général de l’AFD, aujourd’hui gérant d’une société de gestion de fonds consacrée aux PME d’Afrique subsaharienne ; Esther Duflo,économiste, professeur au Massachusetts Institute of Technology (MIT) où elle détient la « chaire Abdul LatifJameel sur la réduction de la pauvreté et l’économie du développement » et Malamine Koné, fondateur et PDG d’Airness.

A propos de l’Agence française de Développement

Établissement public, l’Agence française de Développement (AFD) agit depuis soixante-dix ans pour combattre la pauvreté et favoriser le développement dans les pays du Sud et dans l’Outre-mer. Elle met en œuvre la politique définie par le Gouvernement français.

Présente sur quatre continents où elle dispose d’un réseau de 70 agences et bureaux de représentation dans le monde, dont 9 dans l’Outre-mer et 1 à Bruxelles, l’AFD finance et accompagne des projets qui améliorent les conditions de vie des populations, soutiennent la croissance économique et protègent la planète : scolarisation, santé maternelle, appui aux agriculteurs et aux petites entreprises, adduction d’eau, préservation de la forêt tropicale, lutte contre le réchauffement climatique…

En 2012, l’AFD a consacré plus de 6,9 milliards d’euros au financement d’actions dans les pays en développement et en faveur de l’Outre-mer. Ils contribueront notamment à la scolarisation de 10 millions d’enfants au niveau primaire et de 3 millions au niveau collège, et à l’amélioration de l’approvisionnement en eau potable pour 1,79 million de personnes. Les projets d’efficacité énergétique sur la même année permettront d’économiser près de 3,6 millions de tonnes d’équivalent CO2 par an.