Agence-Presse

France / Sommet de l’Elysée pour la paix et la sécurité en Afrique.

PARIS, France, 1er décembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Agenda de M. le président de la République.

MERCREDI 4 DECEMBRE

16h30 Clôture de la Conférence pour un nouveau modèle de partenariat économique entre l’Afrique et la France

(en parallèle du Sommet de l’Elysée pour la Paix et la Sécurité en Afrique. Ministère de l’Economie et des Finances, centres de conférence).

VENDREDI 6 et SAMEDI 7 DECEMBRE

Sommet de l’Elysée pour la paix et la sécurité en Afrique.

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K-NET Lance de Nouveaux Services Internet Ultrarapides à Haut Débit Illimité dans toute l’Afrique Subsaharienne

ACCRA, Ghana, 1er février 2013/African Press Organization (APO)/ — K-NET (http://www.knetgh.com), un grand opérateur africain de télécommunications qui propose des services voix, données et vidéo en Afrique subsaharienne, a le plaisir d’annoncer le lancement d’une nouvelle gamme de forfaits Internet à haut débit, destinée aux entreprises et aux particuliers, avec des niveaux de performance et un rapport qualité-prix inégalés. Ces services sont disponibles absolument partout dans les 16 pays de l’Afrique occidentale et centrale, des zones urbaines les plus peuplées aux zones rurales les plus isolées.

Logo: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/k-net-1.jpg

Une gamme complète de forfaits est proposée pour répondre à tous les besoins et budgets, des particuliers et petites entreprises aux adeptes du téléchargement et aux grandes sociétés.

– Les nouveaux forfaits CONNECT de base sont conçus pour offrir des services Internet extrêmement fiables et performants de niveau professionnel, à partir de 30 dollars seulement par mois avec des vitesses de téléchargement de 1 Mbps.

– Les forfaits PREMIUM haut de gamme sont conçus pour répondre aux besoins de connectivité des utilisateurs les plus exigeants, avec des vitesses de téléchargement de 8 Mpbs et des volumes de téléchargement en heures de pointe pouvant atteindre 100 Go par mois.

Des volumes de téléchargement illimités pendant les heures creuses sont inclus dans tous les forfaits. Quel que soit le forfait choisi, K-NET fournit les services Internet les plus fiables du continent africain, avec un taux de disponibilité de 99,7 %. K-NET met à disposition un support local pour les ventes et le service après-vente sur l’ensemble du territoire afin d’assurer le meilleur service d’assistance à la clientèle.

K-NET exploite un vaste programme structuré de partenaires qui permet aux partenaires habilités d’obtenir un niveau élevé de formation et de support technique et commercial, accompagné d’un partage des recettes à 50/50. Les partenaires peuvent générer rapidement des revenus mensuels récurrents et substantiels en augmentant le nombre de leurs abonnés dans leur région. Pour découvrir comment devenir un partenaire habilité, contactez K-NET à l’adresse de messagerie [email protected].

Les nouveaux services haut débit de K-NET sont disponibles partout dans les pays suivants : Nigéria, République Démocratique du Congo, Ghana, Cameroun, Côte d’Ivoire, Guinée, Bénin, Rwanda, Burundi, Sierra Leone, Togo, République centrafricaine, Congo, Libéria, Gabon, Guinée Équatoriale.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour K-NET.

À propos de K-NET

Installé à Accra au Ghana, K-NET (http://www.knetgh.com) est un grand opérateur africain de télécommunications qui dessert l’Afrique subsaharienne. K-NET fournit des services de réseau étendu (WAN) aux grandes sociétés nationales et multinationales et des services d’accès Internet à haut débit aux particuliers et aux grandes entreprises comme aux petites. De plus, K-NET est un grand opérateur de services de radiodiffusion et de TV numérique dans cette région, grâce à son téléport et centre de données sophistiqué situé à McCarthy Hill à Accra, qui comprend également des services de contribution et de télédiffusion par satellite (DTH). La plate-forme de K-NET pour la TV numérique fournit un contenu H.264/MPEG4 dans toute l’Afrique subsaharienne à l’aide de la norme de télévision numérique DVB.

Informations supplémentaires sur http://www.knetgh.com

Contactez-nous :

[email protected]

[email protected]

Tél. : +233-302-244923/5/6

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Orange et Baidu signent un partenariat exclusif pour codévelopper un navigateur mobile amélioré en Afrique et au Moyen-Orient

PARIS, France, 14 janvier 2013/African Press Organization (APO)/ —

• Pour son premier accord global avec un opérateur, Baidu a choisi de signer un partenariat exclusif avec Orange afin de co-développer un navigateur mobile amélioré destiné aux marchés émergents

• Ce nouveau navigateur, développé en arabe, en anglais, et bientôt en Français, sera préinstallé et disponible en téléchargement en 2013 sur les terminaux Android dans les pays d’Afrique où Orange est opérateur

• La demande pour les smartphones et l’internet mobile est en croissance en Afrique et au Moyen-Orient – en Égypte, Orange a vu la demande de terminaux Android doubler au deuxième semestre 2012.

• Le navigateur Orange-Baidu permettra aux utilisateurs de naviguer plus facilement sur internet, grâce notamment aux capacités de compression de données qu’il offre et à son interface ergonomique donnant un accès immédiat aux services et applications web.

Orange (http://www.orange.com) a signé un partenariat stratégique exclusif avec l’entreprise chinoise Baidu, acteur majeur de l’internet, pour développer un navigateur mobile à destination des utilisateurs de smartphone en Afrique, au Moyen-Orient et en Asie (AMEA). Ce partenariat constitue le premier accord entre l’entreprise Baidu et un opérateur international, et correspond à l’objectif commun d’Orange et de Baidu de rendre l’internet mobile accessible dans tous les marchés émergents.

Logo Orange: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/orange-logo.jpg

L’usage de l’internet mobile en Afrique est en croissance rapide, accompagné par le déploiement des réseaux 3G par Orange et la commercialisation de smartphones de plus en plus abordables. Les utilisateurs basculent ainsi progressivement des terminaux basiques aux smartphones Android peu chers. Orange, dont la base de clients mobiles atteint près de 80 millions de clients en Afrique et au Moyen-Orient, voit la part d’utilisateurs de smartphone augmenter au sein de ce parc, comme en témoigne notamment le doublement de la demande pour les terminaux Android en Égypte au deuxième semestre 2012.

Le nouveau navigateur mobile Orange et Baidu propose une interface à la fois simple et personnalisable pour les utilisateurs en Afrique et au Moyen-Orient, leur permettant d’accéder facilement à des applications web et des services internet propres à Baidu et Orange, ainsi qu’à des services comme Wikipedia, Facebook ou encore Twitter. Les utilisateurs peuvent ainsi bénéficier d’une nouvelle interface fonctionnellement riche permettant un accès en un clic à leurs services préférés locaux et internationaux. Leur navigation sur internet sera également plus rapide et plus fluide comparée aux autres navigateurs, réduisant considérablement la consommation de données selon leur nature (de 30 à 90%).

Orange et Baidu ont développé ce navigateur en arabe et en anglais, et le lancent aujourd’hui pour la première fois en Égypte. Les deux entreprises travaillent désormais au lancement de la version française, destinée aux pays francophones d’Afrique et du Moyen-Orient où Orange est présent.

Marc Rennard, directeur exécutif d’Orange en charge de la zone Afrique, Moyen-Orient et Asie, a déclaré à cette occasion : « L’appétence des consommateurs pour les services liés à l’internet mobile est très forte en Afrique. Le prix et la disponibilité ont pu représenter des barrières pour ce marché jusqu’à maintenant. En nous associant à des entreprises innovantes comme Baidu, nous apportons des solutions sur-mesure qui permettent à nos clients d’accéder à tous les services qu’ils souhaitent sans faire de compromis sur les fonctionnalités ou la facilité d’utilisation. Grâce aux partenariats que nous avons noués avec des acteurs majeurs comme Wikipédia ou Facebook en Afrique et au Moyen-Orient, nous continuons à innover sur le continent et nous honorons notre engagement de rendre l’internet accessible à tous les clients dans les pays où nous sommes présents. »

Hu Yong, directeur général de Baidu’s International Business Unit, a ajouté : « Le succès de Baidu provient de sa capacité à développer des technologies, des produits et des services qui sont adaptés à la Chine, le plus grand marché émergent du monde. Nous mettons désormais cette expérience à disposition d’autres marchés qui connaissent une croissance rapide. En travaillant avec Orange au Moyen-Orient et en Afrique, Baidu espère apporter une contribution importante à la croissance de cette région en rendant l’internet mobile extrêmement facile d’usage. »

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour France Télécom-Orange.

A propos d’Orange

France Télécom-Orange (http://www.orange.com) est l’un des principaux opérateurs de télécommunications dans le monde, avec un chiffre d’affaires de 45,3 milliards d’euros en 2011 et 170 000 salariés au 30 septembre 2012, dont 105 000 en France. Présent dans 33 pays, le Groupe servait 227 millions de clients au 30 septembre 2012, dont 169 millions de clients du mobile et 15 millions de clients ADSL et fibre dans le monde. Orange est l’un des principaux opérateurs européens du mobile et de l’accès internet ADSL et l’un des leaders mondiaux des services de télécommunications aux entreprises multinationales, sous la marque Orange Business Services.

Avec son projet d’entreprise « conquêtes 2015 », Orange s’adresse simultanément à ses salariés, à ses clients, à ses actionnaires et plus largement à la société dans laquelle l’entreprise évolue en s’engageant concrètement sur des plans d’actions. Ceux-ci concernent les salariés du Groupe grâce à une nouvelle vision des Ressources Humaines ; les réseaux, avec le déploiement des infrastructures du futur sur lesquelles le Groupe bâtira sa croissance ; les clients, avec l’ambition de leur offrir la meilleure expérience parmi les opérateurs grâce, notamment, à l’amélioration de la qualité de service ; et l’accélération du développement international.

France Télécom (NYSE:FTE) est cotée sur NYSE Euronext Paris (compartiment A) et sur le New York Stock Exchange.

Pour plus d’informations (sur le web et votre mobile) : www.orange.com, www.orange-business.com, www.orange-innovation.tv ou pour nous suivre sur Twitter : @presseorange.

Orange et tout autre produit ou service d’Orange cités dans ce communiqué sont des marques déposées appartenant à Orange Brand Services Limited, Orange France ou France Télécom.

A propos de Baidu

Baidu, Inc. est le moteur de recherche en langue chinoise majeur. En tant qu’entreprise technologique, l’objectif de Baidu est de fournir aux utilisateurs le moyen le plus équitable de trouver ce qu’ils recherchent en ligne. Baidu dessert à la fois les utilisateurs d’Internet et les entreprises, en fournissant à ces dernières une plateforme efficace pour entrer en contact avec des clients potentiels. Les American Depositary Shares de Baidu sont négociées sur le NASDAQ Global Select Market sous le mnémonique “BIDU”. Actuellement, dix ADS représentent une action ordinaire de classe A Baidu.

Contacts presse :

Jeff Sharpe, [email protected] +44 (0)7887 620 901

Mylene Blin, [email protected] + 33 (0)1 44 44 93 93

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Changer la donne internationale : Anticiper l’Avenir

NEW YORK, 3 octobre 2013/African Press Organization (APO)/ — Richard Attias, fondateur du New York Forum, ex-producteur du Forum de Davos et Richard Saul Wurman créateur des conférences TED et TEDMED unissent leurs forces pour lancer «La 555 conférence » (http://www.555conference.com), première conférence véritablement globale focalisée sur le Futur.

Logo: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/555_logo.jpg

La 555 conférence se tiendra au 4e trimestre 2014, dans 5 villes avec une conclusion à New York début 2015.

Le thème: Finding the Future First™ (Anticiper l’Avenir)

Le concept est simple:

5 visions concrètes pour les 5 prochaines années

5 experts régionaux et internationaux exceptionnels

5 villes choisies sur différents contenus accueillant l’événement qui se déroule sur 5 semaines.

Richard Saul Wurman, pionnier et inventeur du concept d’« architecture de l’information », considère que: « la 555 conférence réunira des personnes de haut niveau dans différentes disciplines pour proposer une vision des futures évolutions qui émergeront dans leurs spécialités respectives. Ensemble, ces penseurs d’exceptions formuleront des prédictions et analyses constructives pour les 5 prochaines années et feront de ce Forum un carrefour de pensées unique en son genre qui provoquera un changement dans notre manière à tous de voir le monde. Ces rencontres devraient être ainsi l’occasion de se concentrer sur la manière dont la planète pourrait se préparer et prendre en compte les prédictions qui y seront formulées : Anticiper l’avenir »

Richard Attias, l’un des principaux créateurs dans le monde de communautés d’échange a conçu et développé des initiatives et des plateformes thématiques qui catalysent l’échange international d’idées. Il est aussi le co-fondateur de la Clinton Global Initiative (CGI) et de la Conférence des Prix Nobels.

Pour lui: « Le futur se dessine tous les jours en Chine, au Japon, en Inde, en Australie, en Turquie ou encore dans les pays du Moyen-Orient et d’Afrique : il ne s’agit plus du domaine exclusif de l’Europe et des Etats-Unis. Nous irons donc chercher les idées et les innovations sur le terrain. L’ ADN du projet « La 555 conférence» est unique en son genre et je suis convaincu que Richard Wurman et moi mettrons en place une véritable initiative pour contribuer à changer la donne mondiale.»

L’appel à candidature international pour accueillir un sommet 555 a déjà débuté. La sélection des villes retenues sera annoncée dans les prochaines semaines.

Pour plus d’information consultez le site officiel : http://www.555conference.com

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour Richard Attias & Associates.

Contact presse :

Alexandra Attias

email. [email protected]


tel. +1.917.455.8259

Catherine Meddahi

email. [email protected],

tel. +331.44.82.67.08

Richard Saul Wurman

email. [email protected]

A propos de Richard Wurman

Décrit par le magasine Fortune comme un « hédoniste intellectuel » avec un « esprit de colibri », Richard Saul Wurman a eu plusieurs vies : en tant qu’auteur, architecte membre de l’institut américain des architectes (FAIA), cartographe reconnu (pour avoir tracé 1/3 de la cité Maya de Tikal et ses projets actuels de 19.20.21 et L’Observatoire Urbain), professeur (L’Université de Cambridge en Angleterre, Princeton, L’Université de Washington à Saint-Louis, L’Université de Caroline du Sud, L’Université de Californie à Los Angeles, La City College de New York), urbaniste détenteur du prix de Kevin Lynch du MIT en design urbain), graphiste (médaille d’or l’association des professionnelles de l’architecture AIGA, membre de l’Alliance Graphique Internationale (AGI) et intronisé au « Hall of Fame » des directeurs artistiques); « théoricien de l’information » (Anxiété de l’Information, Suivez Les Yellow Brick Road), en médecine (six livres et créateur de TED 1984/ 2002 et TEDMED 1995/2010), et comme créateur et organisateur de conférences. Dernièrement, il a reçu le prix Cooper Hewitt Lifetime Achievement Smithsonian en Design ainsi que la médaille d’or du Trinity College de Dublin.

Reconnu comme le premier « architecte de l’information », Richard Wurman a écrit, conçu et publié 83 livres sur une large variété de sujets, tout en créant des conférences et de nouveaux projets de cartographie. Il débute sa carrière de conférencier en 1972 en présidant la Conférence Internationale de Design à Aspen. Il a ensuite co-présidé la première Assemblée Fédérale du Design en 1973 et la Conférence annuelle de l’AIA en 1976. Avec chacun de ces évènements, il a apporté des changements fondamentaux dans la manière d’organiser des rassemblements. Tout cela a participé à la création et l’innovation derrière les événements TED, TEDMED, et la récente Conférence WWW de jazz intellectuelle. Comme le dit le célèbre architecte Frank Gehry, « Les programmes, les conférences et les livres qu’il a développé ont créé un dialogue interactif entre l’art, la conception et la plupart des disciplines dans tous les domaines, sur tous les sujets, de la technologie, l’éducation, le divertissement, la médecine et la science pour n’en nommer que quelques-uns. »

A propos de Richard Attias

Richard Attias est reconnu comme étant le plus grand rassembleur mondial de « l’élite pensante ». Il s’est fait connaître, ces vingt dernières années, comme l’un des hommes aidant les nations, les organisations et les entreprises à créer les conditions propices à l’échange d’idées.

 Cette aptitude à anticiper les questions les plus importantes de notre époque, à activer les réseaux mondiaux et à inspirer l’innovation se fonde sur une expérience inégalée dans l’orchestration de certains événements où se donnent rendez-vous les leaders mondiaux les plus influents de ces dernières années : le Forum Economique Mondial de Davos, la Global Clinton Initiative, la Conférence des prix Nobels, le Sommet de la Ligue arabe en Jordanie, le Sommet des pays de l’APEC (Asia-Pacific Economic Cooperation). En 2010, Richard Attias a lancé le New York Forum, qu’il développe en Afrique depuis 2012 (New York Forum AFRICA) événement annuel ayant lieu à Libreville au Gabon, le Doha Goals Forum à Doha au Qatar.

Il a également produit en mai 2013 les Assemblées Annuelles de la Banque Africaine de Développement au Maroc.

Avant d’établir sa base à New York, Richard Attias a exercé en 2008 la fonction de conseiller spécial auprès de l’Emir de Dubaï. Cette mission faisait suite aux dix années passées au sein du Groupe Publicis dont il a créé le premier réseau mondial d’événements Publicis Events Worldwide, avant d’être nommé Président de Publicis Live en 2007. En 2009, il fonde Richard Attias & Associates, agence de conseil en communication stratégique qui conçoit et développe des initiatives uniques et des plateformes thématiques internationales. RAA assiste les décideurs, les entreprises et les Etats à développer leur influence à l’échelle mondiale, à catalyser l’innovation et à participer à l’échange d’idées dans un contexte global.

Richard Attias est également le fondateur et le président du New York Forum, un rendez-vous annuel qui réunit des CEO, des économistes et des experts invités à échanger leurs idées et à émettre des propositions de nouveaux modèles économiques dans ce monde post-crise. Il est également Président du « Centre sur le Capitalisme et sur la Société » de l’Université de Columbia, une entité créée en 2002 pour étudier le fonctionnement des économies modernes qui ont fait la preuve de leur efficacité… 

Richard Attias est un citoyen du monde. Né à Fez, au Maroc, il est ingénieur du génie civil et titulaire d’une maîtrise en mathématiques et en physique. Il parle couramment l’anglais, l’arabe et le français. Actuellement basé à New York, il voyage régulièrement en Europe, en Asie, en Amérique Latine et au Moyen-Orient, où sont basées les différentes équipes de Richard Attias & Associates.

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Comment assurer l’accès à des produits médicaux de bonne qualité, sûrs et efficaces dans la Région africaine

BRAZZAVILLE, Congo, 4 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Chaque jour, certains patients reçoivent des traitements et utilisent des produits médicaux de mauvaise qualité qui sont dangereux et inefficaces.

L’Organisation mondiale de la Santé(OMS) décrit ces produits médicaux comme étant «de qualité inférieure, faux, faussement étiquetés, falsifiés ou contrefaits » (SSFFC).

Dans de nombreux pays, les produits médicaux «de qualité inférieure, faux, faussement étiquetés, falsifiés ou contrefaits » sont vendus dans les rues, dans les coins de rue, dans les marchés en plein air, et souvent avec les fruits et les légumes. Les personnes qui cherchent des médicaments et sont incapables de payer les médicaments dans des points de vente agréés cherchent de solutions de rechange moins chères ailleurs. Dans certaines zones rurales, l’accès aux médicaments est limité, et souvent l’offre ne répond pas à la demande, ce qui entraîne un marché pour les médicaments non autorisés.

Selon les experts de l’OMS, l’utilisation d’ingrédients de qualité inférieure et inactifs, les mauvaises pratiques de fabrication, le conditionnement, le transport et le stockage inappropriés mettent la santé des personnes en danger. L’une des causes profondes de cette dégradation de la qualité des médicaments est la capacité insuffisante des autorités nationales de règlementation des médicaments.

Comment les pays de la Région africaine peuvent-ils faire face à ces problèmes?

Dans un rapport présenté aux Ministres de la Santé participant à la63èmesession du Comité régional de l’OMS pour l’Afrique, qui se déroule à Brazzaville, Congo, du 2 au 6 Septembre2013,le Directeur régional de l’OMS pour l’Afrique, le Dr Luis Sambo, a proposé des solutions, notamment la mise en place d’un organisme approprié, comme l’Autorité nationale de règlementation des médicaments (ANRM), pour s’assurer qu’uniquement les produits médicaux sûrs, de bonne qualité et efficaces sont disponibles dans les pays. Cette structure devrait être véritablement autonome de manière à en garantir l’indépendance, la transparence et la responsabilisation dans la prise de décision.

Il a invité les pays à adapter et à utiliser les directives recommandées par l’OMS qui comprennent le recours à des mécanismes tels que le « Programme de Pré qualification » de l’OMS. Ce mécanisme veille à que les diagnostics, les médicaments, les vaccins et les équipements liés à la vaccination et les dispositifs destinés à la lutte contre les maladies à forte charge de morbidité soient conformes aux normes mondiales de qualité, de sécurité et d’efficacité

Se référant au défi des lois dépassées et incompatibles dans certains pays, le Dr Sambo a déclaré: que «les gouvernements ont pour responsabilité primordiale de mettre en place dans les pays un système de réglementation complet et fonctionnel. Des approches systématiques par rapport à l’évaluation régulière des systèmes de réglementation devraient être adoptées en vue d’atteindre les objectifs du secteur pharmaceutique. Le cadre juridique et réglementaire doit permettre la mise en œuvre efficace des activités de réglementation. « 

Il convient de chercher des solutions à la pénurie de personnel qualifié en assurant la formation initiale et continue. En outre, les pays doivent collaborer avec les institutions académiques en vue de créer des centres régionaux d’excellence pour servir de centres de formation.

S’agissant du financement insuffisant et non durable-défi constant auquel fait face le secteur de la santé en Afrique, le Directeur régional propose que les pays créent des lignes budgétaires et des mécanismes de financement adéquats pour la réglementation des produits médicaux afin de couvrir les coûts récurrents et opérationnels.

Rappelant la décision des Chefs d’Etat et de gouvernement africains de créer une Agence africaine de Médicaments (AMA) unique, le Dr Sambo a souligné la nécessité d’accélérer son plein fonctionnement afin d’améliorer la collaboration et de renforcer la capacité de réglementation des pays. Il a exhorté les Communautés économiques régionales à œuvrer pour l’harmonisation de la réglementation des produits médicaux

Il est à espérer que si les mesures proposées par le Directeur régional sont intégralement mises en œuvre, la région sera sur la voie de la création de systèmes solides et entièrement fonctionnels permettant aux populations d’avoir accès à des produits médicaux de bonne qualité, sûrs et efficaces de manière à réduire les cas d’échec des traitements, la résistance aux médicaments et, partant, la mort.

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L’entreprise GSK et l’organisme Save the Children récompensent 5 organisations sources d’inspiration

LONDRES, Royaume-Uni, 16 novembre 2013/African Press Organization (APO)/ —

– La première initiative rendue possible grâce à ce partenariat ambitieux mis en place entre GSK et Save the Children, dont le but est de sauver un million d’enfants.

Un dispositif simple à faible coût qui aide les nourrissons à respirer et qui peut améliorer les chances de survie de milliers de bébés africains a reçu la récompense la plus élevée dans le cadre du premier prix « Healthcare Innovation Award » de GSK (http://www.gsk.com) et Save the Children s’élevant à 1 million de dollars.

Logo GSK: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/glaxosmithkline.jpg

Ce kit de survie, appelé « bulle » de ventilation à pression positive continue, ou encore « bCPAP » (Continuous Positive Airway Pressure) est utilisé pour aider les bébés en situation de détresse respiratoire, souvent causée par des infections respiratoires aiguës comme la pneumonie. Le dispositif bCPAP utilise de l’air comprimé pour maintenir l’ouverture des voies respiratoires du patient, et du fait qu’il existe très peu de modèles muraux de générateurs d’air dans les hôpitaux du Malawi, la nouvelle pompe à air bCPAP fonctionne de façon autonome. Ils sont par ailleurs conçus à partir de matières durables peu coûteuses et faciles à réparer. Une version semblable est déjà couramment utilisée dans les pays développés dont le coût est supérieur à 6 000 $. Cette « bulle » innovante à faible coût adaptée des CPAP peut être produite pour environ 400 $.

L’organisation à l’origine de cette innovation qui a permis aux gagnants de recevoir 400 000 $, une partie du prix d’1 million de dollars se dénomme Friends of Sick Children (les amis des enfants malades), au Malawi – un partenariat entre le service de pédiatrie de l’hôpital central Queen Elizabeth à Blantyre, au Malawi, Rice 360° : institut spécialisé dans les technologies de santé dans le monde, aux États-Unis et la Faculté de médecine de l’Université du Malawi. Le financement provenant du Prix « Healthcare Innovation Award », ainsi que le soutien apporté par le Ministre de la Santé au Malawi, permettra de reproduire et d’élargir ce dispositif à la Tanzanie, à la Zambie et à l’Afrique du Sud.

Un jury d’experts issu des domaines de la santé publique et du développement, coprésidé par M. Andrew Witty, président de GSK, et Justin Forsyth, directeur général de Save the Children, a été impressionné par l’effet positif du dispositif bCPAP dans la lutte contre les décès des nourrissons, ainsi que par l’étendue du programme associé portant sur l’éducation et la formation en matière de soins aux bébés prématurés. Le taux de mortalité infantile reste toujours inquiétant dans les pays en développement. En 2012, trois millions de bébés sont morts dans les 28 jours suivant leur naissance.

Le dispositif bCPAP a été choisi parmi cinq projets, dans une longue liste de 100 demandes provenant de 29 pays en développement, qui ont fait l’objet d’une sélection par le jury d’experts.

M. Andrew Witty, président de GSK, a déclaré : « Nous avons découvert à travers cette initiative, une mine de créativité et d’idées innovantes qui permettront de mieux répondre aux besoins des enfants en matière de santé dans les pays en développement. Je veux rendre hommage à l’ingéniosité des organisations qui ont participé à ce prix.

« Ces projets remarquables montrent qu’il est possible de sauver et d’améliorer un nombre considérable de vies grâce à l’innovation au niveau local. Nous espérons que ces prix aideront à « faire passer le message » sur ces innovations et encourageront d’autres organisations à en tirer parti »

Justin Forsyth, directeur général de Save the Children, a indiqué : « En dépit des énormes progrès accomplis dans la lutte contre la mortalité des enfants de moins de cinq ans au cours des dix dernières années, les mêmes progrès n’ont pas été constatés concernant la mortalité des nourrissons survenue au cours des 28 jours suivant leur naissance dans les pays pauvres. Il s’agit d’un un domaine qui nécessite une grande attention, c’est pourquoi il faut se féliciter que les cinq innovations lauréates de ce prix appartiennent au domaine des soins des nourrissons. Il est encourageant de constater que des pays arrivent à trouver des solutions à leurs propres problèmes en établissant des partenariats avec d’autres pays en développement afin de reproduire et défendre de nouvelles innovations »

L’organisation The Friends of Sick Children (les amis des enfants malades), au Malawi et l’équipe bCPAP ont déclaré : « Nous sommes très heureux d’être les gagnants du prix d’innovation en matière de soins de santé du partenariat bGSK-Save the Children. L’argent obtenu nous aidera à reproduire et à étendre notre programme à toute l’Afrique, nous permettant ainsi de sauver encore plus d’enfants. Recevoir une reconnaissance pour notre travail accompli et être source d’inspiration pour d’autres organisations dans le monde est pour nous un grand honneur »

Voici quatre autres organisations ayant bénéficié d’une partie du financement d’1 million $ :

• BRAC, au Bangladesh : a reçu une récompense d’une valeur de 300 000 $ dans le cadre du programme Manosh qui propose une offre complète de services de santé aux femmes et aux enfants des bidonvilles de Dacca

• MUSO, au Mali : a reçu une récompense d’une valeur de 100 000 $ pour son travail sur le système communautaire conçu pour identifier plus facilement les premiers signes de la maladie chez les femmes et les enfants, avant que leurs symptômes ne deviennent plus graves.

• Microclinic Technologies, au Kenya : a reçu une récompense d’une valeur de 100 000 $ dans le cadre d’un système de gestion mobile innovant pour la santé conçu pour améliorer la qualité des soins maternels et pédiatriques et qui permet l’accès à des données en temps réel afin d’améliorer les décisions relatives à la planification des soins de santé.

• Kangaroo Foundation, en Colombie (Fundacion Canguro) : a reçu une récompense d’une valeur de 100 000 $ attribué en tant que reconnaissance spéciale pour leur programme à long terme de la méthode mère kangourou, une méthode qui consiste à porter le bébé né prématurément peau contre peau avec sa maman.

L’existence du partenariat entre GSK et Save the Children a pour objectif de proposer un nouveau modèle aux organismes corporatifs et caritatifs qui travaillent ensemble pour sauver la vie d’un million d’enfants.

Distribué par APO (African Press Organization) pour GlaxoSmithKline (GSK).

Notes aux rédacteurs :

Le jury d’experts pour le prix de GSK-Save the Children « Healthcare Innovation Award » (par ordre alphabétique) :

• Dr Abbas Bhuiya : directeur général par intérim au Centre international de recherche sur les maladies diarrhéiques, un Institut de recherche en santé situé à Dacca au Bangladesh

• Joe Cerrell : directeur du bureau européen de la Fondation Gates et actuellement membre du conseil de la campagne ONE et de Comic Relief

• Lord Nigel Crisp : membre indépendant de la Chambre des Lords, il s’occupe surtout du développement et de la coopération sanitaire au niveau international. Lord Crisp a été directeur général des services de santé nationaux (NHS) de 2000 à 2006 et il est secrétaire permanent au ministère de la Santé au Royaume-Uni

• Professeur Joy Lawn : Professeur de politiques de la Santé maternelle, reproductive et infantile et Directeur du centre MARCH à l’École d’hygiène et de médecine tropicale de Londres

• Professeur Alejandro Madrigal : originaire de Mexico, Professeur Madrigal est le directeur scientifique d’Anthony Nolan et Président du Groupe européen pour la transfusion sanguine et la greffe de moelle osseuse (EBMT)

• Professeur Oyewale Tomori : Professeur en virologie et Président de l’Académie des sciences du Nigeria, Professeur Tomori est membre du Collège Royal des pathologistes du Royaume-Uni et conseiller en virologie pour de nombreux Comités de l’Organisation mondiale de la santé.

Lauréats du prix « Healthcare Innovation Award » de GSK-Save the Children :

Friends of Sick Children, (les amis des enfants malades) au Malawi : 400 000 $

• Friends of Sick Children au Malawi est un partenariat entre le service de pédiatrie de l’hôpital central Queen Elizabeth de Blantyre, au Malawi, l’Institut universitaire sur le riz 360° : l’Institut spécialisé dans les Technologies de santé dans le monde et la Faculté de médecine de l’Université du Malaw.

• Leur dispositif bCPAP à « bulle » servant de ventilation à pression positive continue est une adaptation à faible coût d’un dispositif testé pour aider les nourrissons souffrant de détresse respiratoire, spécialement destiné aux régions à faibles ressources

• Cette adaptation économique des appareils de bCPAP traditionnels peut être produite pour environ 400 $ –15 fois moins cher que le coût moyen des dispositifs actuels utilisés dans les pays développés

• Les bCPAP sont actuellement en cours d’installation dans des unités néonatales du Malawi en partenariat avec le Ministère de la Santé. L’argent du prix sera utilisé pour soutenir l’expansion de cette technologie à faible coût et pour étendre les programmes de formation associés à la Tanzanie, à la Zambie et en Afrique de Sud.

• Cette initiative permettrait d’empêcher 178 000 décès néonatals chaque année sur le continent africain, où près d’un million de bébés meurent chaque année une semaine après la naissance.

• Le projet a été récompensé pour son ensemble de services de traitement pouvant être répliqué, de haute qualité et abordable qui a pour objectif la nécessité vitale de réduire le taux de mortalité infantile et le nombre d’accouchements prématurés, en passant par l’amélioration de l’apprentissage et des connaissances

BRAC au Bangladesh : 300 000 $.

• Le programme Manosh de BRAC propose une offre complète de services de santé aux femmes et aux enfants des bidonvilles de Dacca et comprend 3 grands domaines d’innovation :

– Des centres d’accouchement sûrs et propres dans les bidonvilles, permettant aux femmes d’accoucher près de chez elles, où elles seront accompagnées d’une sage-femme qualifiée qui saura identifier rapidement les éventuelles complications

– L’accès aux soins médicaux d’urgence : en partenariat avec la BRAC, les établissements sanitaires et le personnel de santé local veillent à ce que les personnes nécessitant une aide médicale d’urgence, mais qui ne pourrait pas en supporter les coûts, aient accès à de tels services. Ils sont exemptés de frais médicaux et de coûts de transport.

– Recueil de données numériques : le personnel de santé effectuant les visites à domicile dispose d’un téléphone portable équipé d’un logiciel sur lequel il peut enregistrer facilement et rapidement les renseignements vitaux du patient. En plus de créer un modèle d’alerte et d’évaluation automatique des risques permettant le suivi du patient, les informations sont automatiquement envoyées au superviseur compétent qui les examinera et qui procèdera aux observations pertinentes.

• L’argent du prix sera utilisé pour diriger le programme dans les bidonvilles de Freetown, en Sierra Leone.

• Ce projet a été récompensé pour sa viabilité et son impact avérés et pour sa capacité à améliorer les conditions de santé dans les populations urbaines croissantes. Il a été reconnu comme le meilleur programme d’intervention global et c’est un bon exemple d’innovation à succès « sud-sud »

MUSO, au Mali : 100 000 $

• MUSO a mis au point un système conçu pour identifier plus facilement les premiers signes de la maladie chez les femmes et les enfants, avant que leurs symptômes ne deviennent plus graves. Ce système comprend 5 composantes clés :

– Des visites chez les patients menées par des travailleurs de santé communautaires afin d’identifier les femmes et les enfants nécessitant des soins de santé et les traiter de manière pro-active

– Des activités de plaidoyer visant à inciter les partenaires ministériels à supprimer les frais de santé, un obstacle majeur à l’accès aux soins

– Le renforcement des capacités des centres de santé à travers la fourniture d’équipements et de formations

– La mobilisation des communautés et la formation de leaders locaux, ce qui permettra d’identifier les personnes à traiter, et d’assurer un réseau de référence rapide entre chaque visite des travailleurs de santé

– L’élargissement des programmes en matière d’éducation, d’organisation communautaire et de micro-enterprise afin d’équiper et offrir des compétences à long terme aux communautés

• L’argent obtenu par le prix servira à la création d’un Centre d’Excellence destiné à promouvoir la reproduction de ces modèles dans toute la région

• Le projet a été récompensé pour son implication au niveau communautaire et son impact démontré dans une région difficile d’accès

Technologies micro-dispensaires, au Kenya – 100 000 $

• « ZiDi » est un système de gestion mobile pour la santé conçu pour améliorer la qualité des soins maternels et pédiatriques et qui permet l’accès à des données en temps réel afin d’améliorer les décisions relatives à la planification des soins de santé. Ce système enregistre tous les médicaments consommés et le matériel utilisé; il permet de prévoir la demande et automatise les commandes des principaux médicaments ainsi que les fournitures essentielles des fournisseurs, notamment, des autorités d’approvisionnement en fournitures médicales du Kenya (Kenya Medical Supply Authority (KEMSA)). La finalité de ce système est d’empêcher les pertes et de protéger les consommateurs de la contrefaçon de médicaments.

• ZiDi™ a fait l’objet d’essais pilotes satisfaisants à Kisumu County, au Kenya et a été choisi par le Ministère de la Santé pour être mis en place dans 5 000 centres de santé au Kenya, dès 2014.

• ZiDi™ a été récompensé pour son approche innovante et audacieuse en matière de santé qui devrait améliorer l’efficacité et la prise de décisions concernant les centres de santé situés tout au bas de la pyramide.

• L’argent obtenu par ce prix servira au renforcement du système sanitaire grâce à l’amélioration et l’élargissement des infrastructures sanitaires. 

La Fondation Kangourou (Fundacion Canguro), en Colombie – 100 000 $

• La méthode mère kangourou (MK) est une méthode simple qui consiste à porter le nourrisson né prématurément peau contre peau avec sa maman. Tenant le rôle de couveuses humaines, les mères sont capables de répondre au besoin de chaleur de leurs bébés et régulariser leur rythme cardiaque.

• Ayant obtenu une reconnaissance particulière pour le rôle de l’organisation dans la recherche, le développement et la promotion de la méthode mère kangourou, ce modèle a fait ses preuves et a eu des répercussions positives sur la réduction du taux de mortalité chez les prématurés et les nouveau-nés de faible poids, et il peut être facilement reproduit.

À propos de GSK :

GSK (http://www.gsk.com), un géant mondial de la recherche pharmaceutique et de la fabrication de produits de soins de santé, s’est engagée à améliorer la qualité de la vie en aidant chacun à être plus actif, à se sentir mieux et à vivre plus longtemps. Pour tout complément d’information, rendez-vous à l’adresse : www.gsk.com

À propos de Save the Children :

Save the Children est présent dans plus de 120 pays. Nous nous battons pour la survie des enfants et pour leurs droits. Nous les aidons à exploiter leur potentiel. www.savethechildren.org.uk

À propos du partenariat entre GSK et Save the Children

GSK et Save the Children ont mis en place un ambitieux partenariat stratégique à long terme dans lequel ils associent leur savoir-faire, leurs ressources et leur influence dans le but d’aider à sauver la vie d’un million d’enfants. Ce nouveau partenariat est à la fois ambitieux et innovant et il va bien au-delà du modèle traditionnel de l’organisme caritatif. Le partenariat s’intéressera à de nombreux domaines de l’entreprise GSK, en faisant appel notamment à son potentiel R&D pour sauver la vie d’enfants. Le partenariat entre GSK et Save the Children portera sur les points suivants :

• Disposer d’un plus grand nombre de médicaments adaptés aux enfants afin de réduire la mortalité infantile et les décès des nourrissons

• Élargir la couverture vaccinale afin de réduire la mortalité infantile dans les communautés les plus difficiles d’accès

• Chercher de nouveaux produits abordables et nutritifs qui permettront de répondre aux besoins des enfants et de combattre la malnutrition

• Accroître les investissements concernant la formation, la portée et l’envergure du personnel de santé dans les communautés les plus pauvres afin d’aider à réduire la mortalité infantile.

http:// www.gsk.com/partnerships/save-the-children-partnership

À propos du Healthcare Innovation Award (prix pour l’innovation en soins de santé)

Le prix GSK et Save the Children d’une valeur d’1 million de dollars récompensant l’innovation en matière de santé a été mis en place avec l’objectif d’identifier et de récompenser les innovations dans le domaine de la santé qui se sont avérées efficaces pour la réduction de la mortalité infantile dans les pays en développement.

Les organisations provenant de tous les pays en développement ont été invitées à citer des exemples de solutions novatrices en matière de santé qu’elles ont découvertes ou mises en place. La condition était que ces solutions devaient avoir permis d’améliorer très sensiblement le taux de survie des enfants de moins de cinq ans, elles devaient être durables et devaient pouvoir être étendues et reproduites.

Demandes GSK :

Contacts auprès des médias au Royaume-Uni :

David Mawdsley +44 (0) 20 8047 5502 (Londres)

Simon Steel +44 (0) 20 8047 5502 (Londres)

David Daley +44 (0) 20 8047 5502 (Londres)

Catherine Hartley +44 (0) 20 8047 5502 (Londres)

Contacts auprès des médias aux États-Unis :

Stephen Rea +1 215 751 4394 (Philadelphie)

Melinda Stubbee +1 919 483 2510 (Caroline du Nord)

Mary Anne Rhyne +1 919 483 0492 (Caroline du Nord)

Sarah Alspach +1 202 715 1048 (Washington, DC)

Jennifer Armstrong +1 215 751 5664 (Philadelphie)

Contacts auprès des analystes/investisseurs :

Sally Jackson +44 20 8047 5543 (Londres)

Kirsty Collins (SRI & CG) +44 20 8047 5534 (Londres)

Tom Curry + 1 215 751 5419 (Philadelphie)

Gary Davies + 44 (0) 20 8047 5503 (Londres)

James Dodwell + 44 (0) 20 8047 2406 (Londres)

Jeff McLaughlin + 1 215 751 7002 (Philadelphie)

Ziba Shamsi + 44 (0) 20 8047 3289 (Londres)

Lucy Singah +44 (0) 20 8047 2248 (Londres)

Save the Children :

Contacts auprès des médias au Royaume-Uni :

Emily Sharman +44 (0) 207 012 6757 (Londres)

Mise en garde concernant les énoncés prospectifs

GSK met les investisseurs en garde contre le fait que les énoncés prospectifs ou prévisionnels formulés par GSK, y compris ceux contenus dans le présent communiqué, sont assujettis à des risques et à des incertitudes qui pourraient entraîner un écart sensible entre les résultats réels et ceux attendus. Les facteurs susceptibles d’avoir des répercussions sur les activités de GSK sont décrits dans la section 3.D. « Facteurs de risque » du rapport annuel de la société pour 2012 sur le formulaire 20-F.

Enregistré en Angleterre et au Pays de Galles :

No. 3888792

Siège social :

980 Great West Road

Brentford, Middlesex

TW8 9GS

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Achats en ligne en Afrique : Conseils pour les fêtes de fin d’année

LE CAP, Afrique du Sud, 9 décembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Avec l’accès accru au haut débit, les coûts des données plus abordables proposés par les opérateurs mobiles et le développement permanent des appareils mobiles, les achats en ligne suscitent un grand intérêt en Afrique subsaharienne.

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Fatima Sullivan, responsable de la vente au détail chez DHL Express Afrique subsaharienne (http://www.dhl.com), indique qu’avec les fêtes de fin d’année approchant à grand pas, les consommateurs choisissent de plus en plus d’acheter leurs cadeaux sur Internet sur des sites marchands locaux et étrangers. La raison de cet engouement : cela leur permet de sélectionner leurs produits parmi un large éventail d’articles à des prix compétitifs, sans être limités sur le plan géographique, et de faire leurs achats au moment qui leur convient.

« Avec l’amélioration de l’infrastructure, en matière de technologie de l’information et de la communication (TIC), et de la sécurité sur Internet, davantage de personnes choisissent d’effectuer leurs achats en ligne plutôt que dans des points de vente traditionnels en raison de la variété des produits disponibles en un seul clic », précise Fatima Sullivan.

Elle souligne l’incroyable succès des start-up locales d’e-commerce telles que Zando en Afrique du Sud et JUMIA au Nigeria, appartenant toutes les deux à Africa Internet Holding, qui sont fin prêtes pour les fêtes de fin d’année. JUMIA, qui n’a été lancée qu’en 2012, a déjà conquis six marchés, pour profiter de cette croissance, et Zando envisage des projets d’expansion dans un avenir proche.

Jeremy Hodara, co-PDG de l’Africa Internet Holding et Sascha Breuss, DG de Zando, reconnaissent qu’« acheter à l’étranger est très cher ». Ils soulignent également l’importance d’un partenaire logistique solide pour gagner la confiance des clients. « C’est le plus grand défi, car il y a de nombreuses craintes de fraude et nous devons sensibiliser les consommateurs à la façon d’effectuer des achats en ligne de façon sécurisée. Par exemple, nous devons être transparents sur les prix, les taxes ou les frais d’expédition. C’est la raison pour laquelle JUMIA et ZANDO acceptent les paiements à la livraison et offrent des retours gratuits. Cela leur permet d’offrir une expérience d’achat agréable, sans stress et sûre. »

Fatima Sullivan indique que, alors que les achats en ligne ont de nombreux avantages, très peu de consommateurs sud-africains connaissent les réglementations qui s’appliquent à l’importation de produits achetés en ligne auprès de sites marchands internationaux. Cela pourrait engendrer des dépenses supplémentaires pour les consommateurs, rendant ainsi l’achat du produit nettement moins intéressant.

« À titre d’exemple, tous les colis transportés au-delà des frontières internationales doivent être dédouanés. En fonction du type de marchandises transportées, ils peuvent aussi être soumis à d’autres restrictions et réglementations. Certains produits comme les vêtements font l’objet de droits de douane élevés et d’interventions par les services de douane qui contrôlent le prix, les contenus et le pays de fabrication pour limiter de nombreux risques. »

Elle ajoute que la confirmation de toutes les restrictions possibles liées à des marchandises particulières est essentielle et que cela doit être la première chose à faire par les consommateurs avant d’effectuer un achat en ligne afin d’éviter de subir des pertes financières au cas où des marchandises seraient retenues par les douanes.

Lors de l’achat de produits en ligne sur des sites marchands internationaux, Fatima Sullivan souligne l’importance de prendre en compte les facteurs suivants afin d’éviter des coûts supplémentaires ou un retard de livraison des marchandises :

• Taxes et droits à l’importation : En général, les coûts liés aux taxes et droits à l’importation sont calculés spécifiquement sur la valeur des marchandises importées. Les consommateurs doivent aussi savoir que certains produits tels que les vêtements et le vin sont calculés en partie sur la valeur et/ou sur la quantité, et peuvent être soumis à des conditions d’autorisation basées sur la quantité, tandis que d’autres articles comme les vêtements, les bijoux, les parfums et les appareils mobiles peuvent n’être calculés que sur la valeur du produit.

• Dédouanement : En fonction de l’article, différents niveaux de dédouanement peuvent être nécessaires. Cela pourrait retarder votre envoi du fait du traitement ou de l’examen physique, il est donc important de commander vos marchandises bien en avance, pour vous assurer qu’elles arriveront à temps.

• Choisissez un service de livraison adapté : les plus importantes sociétés de services express telles que DHL sont bien implantées en Afrique, et ont établi de bonnes relations de travail avec les services douaniers et les autorités locales, garantissant un dédouanement et une livraison des marchandises rapides.

• Cadeaux : Dans la plupart des pays, les cadeaux ne sont acceptables qu’entre des personnes. Une description complète de leur contenu est exigée, la description générique de « Cadeau » n’est pas acceptée. Mais là encore, cela dépend des pays.

• Informez-vous sur les différents coûts d’expédition : Il est important de déterminer quels coûts seront assumés par l’expéditeur et le client avant l’expédition des marchandises.

En définitive, il y a trois coûts principaux liés au transport et au dédouanement des marchandises : a) le coût des marchandises à payer à l’expéditeur, b) les coûts d’expédition à la charge du client et c) les coûts des droits de douane, de taxes et de dédouanement.

Dans la plupart des cas, les droits de douane et les taxes à payer dans le pays de destination ne peuvent pas être déterminés de façon précise par l’expéditeur au moment de la commande des produits et ces coûts ne sont pas inclus par l’expéditeur dans son devis au client. Ainsi, à l’arrivée, ces frais sont facturés et doivent être payés par le client avant que le colis ne puisse être réclamé, souvent à la grande surprise du client. En fin de compte, cela pourrait entraîner un coût au débarquement (le montant total de tous les coûts) de la marchandise commandée sur un site marchand beaucoup plus élevé que prévu pour l’acheteur et pourrait l’amener à ne plus répéter ses achats en ligne.

« Il est recommandé aux consommateurs de parler au détaillant en ligne ou à un expert /fournisseur de services local en cas de de doute sur les réglementations qui pourraient s’appliquer à leur achat », conclut Mme Sullivan. Avec le boom attendu pour les fêtes de fin d’années, vous ne voudriez pas avoir de mauvaise surprise concernant les droits de douane et les taxes, ou que votre cadeau de Noël arrive le 28 décembre. »

Distribué par APO (African Press Organization) pour Deutsche Post DHL.

Contact pour les médias :

Lee Nelson. Responsable senior du marketing et des communications, Afrique subsaharienne

DHL Express

Tél. : +27 21 409 3613 – Mobile : +27 72 361 0178

[email protected]

DHL – La société de logistique du monde (The Logistics company for the world)

DHL (http://www.dhl.com) est le leader mondial du marché de la logistique et « La société de logistique du monde (The Logistics company for the world) ». DHL met son expertise dans le domaine des services express internationaux, du fret aérien et maritime, du transport routier ou ferroviaire, de la logistique contractuelle et du courrier international, au service de ses clients. Un réseau mondial composé de plus de 220 pays et territoires, et d’environ 285 000 salariés dans le monde entier, offre à ses clients un service de qualité de haut niveau et une connaissance du terrain, permettant de satisfaire aux exigences dictées par leurs chaînes d’approvisionnement. DHL assume sa responsabilité sociale en soutenant la lutte contre le changement climatique, la gestion des catastrophes naturelles et l’éducation.

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Le Prix de l’innovation pour l’Afrique pour promouvoir la tech

LAGOS, Nigeria, 31 octobre 2013/African Press Organization (APO)/ — La Fondation africaine pour l’innovation (AIF) (http://www.africaninnovation.org) a annoncé aujourd’hui qu’elle prolongera la date limite de dépôt des candidatures pour le Prix de l’innovation pour l’Afrique (PIA) 2014 (http://www.innovationprizeforafrica.org) jusqu’au 30 novembre 2013. Le PIA est une initiative qui mobilise les entrepreneurs et innovateurs qui proposent des solutions axées sur le marché capables d’améliorer l’efficacité et de générer des économies pour l’Afrique. Participant à une table ronde sur le thème de l’innovation au Nigeria, le représentant du PIA a souligné la nécessité d’investir dans l’innovation afin d’accélérer la croissance économique sur le continent.

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« L’Afrique connaît l’une des croissances économiques les plus rapides de l’histoire récente, avec une moyenne de 6 %. L’innovation a joué, et continuera de jouer, un rôle essentiel dans cette croissance et, à cet égard, le PIA poursuit sa mission d’identification des innovateurs qui contribuent au développement durable de l’Afrique et créent des solutions pour relever les défis quotidiens du continent », a déclaré Pauline Mujawamariya, directrice de programme du PIA.

Cette extension survient en réponse aux demandes formulées par de nombreux pays indiquant que leurs innovateurs ont entendu parler du concours un peu tard et auraient besoin de davantage de temps pour préparer efficacement et soumettre leur candidature. À ce jour, le PIA a attiré plus de 1 350 candidatures de 48 pays. Le PIA vise à promouvoir une innovation développée et consolidée en Afrique pour alimenter le changement et le développement général pour le continent et sa population et leur permettre d’être compétitifs sur les plateformes mondiales.

Le PIA 2014 se concentrera sur 1) l’agriculture et l’agro-industrie, 2) l’environnement, l’énergie et l’eau, 3) la santé et le bien-être, 4) les technologies de l’information et des communications et 5) les secteurs secondaire et tertiaire.

Seules les innovations d’Africains pour les Africains sont éligibles pour participer au PIA 2014. Les Africains de la diaspora peuvent également s’inscrire si leurs innovations sont significatives pour l’Afrique. L’innovation gagnante remportera un prix en espèces d’une valeur de 100 000 USD, et les deux finalistes recevront 25 000 USD chacun.

Pour plus d’informations sur les catégories du concours, les modalités de participation et la procédure de soumission des candidatures, veuillez consulter le site : InnovationPrizeForAfrica.org (http://www.innovationprizeforafrica.org). Pour des faits marquants et de plus amples renseignements, suivez le PIA sur Twitter (https://twitter.com/#!/IPAprize) et Facebook (https://www.facebook.com/InnovationPrizeforAfrica).

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour le Prix de l’innovation pour l’Afrique (PIA).

Contacts

AIF

Pauline Mujawamariya

Téléphone + 41 44 515 5466

Email [email protected]

WS

Mimi Kalinda

Téléphone + 27 72 688 1250

Email [email protected]

À propos de l’AIF

L’AIF (http://www.africaninnovation.org) soutient l’innovation et les autres projets novateurs ayant le potentiel de contribuer au développement durable des pays africains. Cela implique le soutien des innovations locales, la facilitation des transferts de technologie ainsi que le soutien d’autres plateformes qui améliorent l’échange d’idées et la coopération entre les chercheurs, les inventeurs, les entrepreneurs, les investisseurs et les décideurs. L’AIF promeut également des processus et procédures transparents au sein du secteur public et combat l’appropriation illégitime et la dissipation de ressources au sein des domaines publics et privés. Les domaines d’activité de l’AIF englobent des programmes et des projets dans les secteurs de : l’innovation et l’accès aux technologies, la gouvernance, l’éducation et la culture, et la santé. Pour tout complément d’information, rendez-vous sur : http://www.africaninnovation.org

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Partenariat public-privé : l’avenir pour l’industrie pharmaceutique

TUNIS, Tunisie, 30 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Le secteur pharmaceutique africain devrait connaître, au cours des prochaines années, un boom sans précédent. Les synergies public-privé apparaissent incontournables pour le développement de cette industrie. En effet, avec un taux de croissance annuel moyen de plus de 10%, l’Afrique est le second marché le plus dynamique à l’échelle mondiale, après l’Asie-Pacifique. Les dépenses pharmaceutiques devraient ainsi atteindre les 30 millions de dollars d’ici 2016.

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C’est ce qui ressort des travaux du premier Sommet pharmaceutique africain, organisé à Hammamet, en Tunisie, les 23 et 24 septembre 2013.

Organisé par la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) et le journal Africa Health, le Sommet pharmaceutique africain 2013 a rassemblé quelque 130 experts de haut niveau venus du monde entier. Il s’agit de la première plateforme réunissant décideurs politiques, industriels, experts et bailleurs de fonds pour définir les meilleures stratégies de développement du secteur. Cette importante rencontre a été l’occasion de faire le point autour de la nécessité de multiplier les partenariats public-privé. L’objectif était de mettre en évidence l’importance de ce mode de financement qui s’avère, aujourd’hui, essentiel pour saisir les opportunités de ce secteur et améliorer la santé des populations.

Abdellatif Mekki, ministre tunisien de la Santé a d’ailleurs exprimé son soutien pour le développement de partenariats africains dans cet espace économique émergent. « De tels partenariats », a-t-il dit, « permettraient d’améliorer la sécurité sanitaire, l’accessibilité au médicament ainsi que l’harmonisation des législations en Afrique ».

Première institution de financement du développement en Afrique, la BAD intervient aujourd’hui comme un acteur clé du dialogue public-privé dans le secteur pharmaceutique. A travers la première édition de ce sommet africain, la Banque offre ainsi l’opportunité de créer une plateforme unique Business-to-Business visant à établir des partenariats, renforcer la collaboration et développer des synergies sur les domaines d’intervention possibles pouvant faire progresser cette industrie.

L’économiste en chef de la Banque africaine de développement, Mthuli Ncube, est revenu sur l’intérêt politique actuel pour le développement du secteur pharmaceutique en Afrique. « Bien que le marché pharmaceutique africain ne représente que 2% du marché global, sa croissance reste la plus importante dans le monde », a-t-il expliqué. « Les opportunités sont notables compte tenu de la dynamique démographique et de la croissance du pouvoir d’achat en Afrique. Par ailleurs, le continent représente une part importante des maladies infectieuses dans le monde ».

« Face à la crise financière et à l’investissement requis pour développer cette industrie et la rendre plus compétitive, il est nécessaire de relever un certain nombre de défis », a pour sa part estimé Feng Zhao, chef de la division Santé au sein du département du Développement Humain de la BAD. « De nouveaux modèles d’affaires et de partenariats sont à penser pour mieux répondre aux spécificités du continent », a-t-il ainsi indiqué. « Nous avons entrepris plusieurs initiatives dans ce sens et nous continuons à offrir notre support pour développer le potentiel de ce secteur ».

La BAD a lancé un programme ambitieux basé sur une stratégie institutionnelle à l’horizon 2022. A travers son département du Développement Humain, la BAD a défini ses priorités pour l’industrie pharmaceutique en soutenant le développement du secteur privé et l’intégration économique régionale. Ces deux axes visent à placer l’Afrique comme un acteur clé face aux enjeux globaux. Les investissements dans les compétences et les technologies sont également au centre de l’agenda de développement de la BAD. Compte tenu des spécificités du secteur pharmaceutique africain, la révolution technologique et l’innovation peuvent être exploitées pour accélérer significativement la croissance inclusive et la création d’emplois.

De nombreuses initiatives ont été lancées par la Banque pour encourager les secteurs public et privé, ainsi que les ONG et instituts de recherche en Afrique à développer des solutions innovantes en matière de santé. A cet égard, cette première édition du Sommet pharmaceutique africain a accueilli les dix lauréats du prix E-health BAD. Devant le panel d’experts, les lauréats ont été invités à présenter leurs innovations. Puis ils ont reçu un certificat pour leurs contributions et solutions dans les domaines e-health et m-health en Afrique.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).

Contact média : Nawsheen Elaheebocus, Tel : +216 7110 1224

Coordinateur de programmes : Feng Zhao, Tel : +216 7110 2117

À propos du Groupe de la Banque africaine de développement

Le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) est la première institution multilatérale de financement dédiée au développement de l’Afrique. Elle comprend trois entités distinctes : la Banque africaine de développement (BAD), le Fonds africain de développement (FAD) et le Fonds spécial du Nigeria (FSN). La BAD est présente sur le terrain dans 33 pays africains, avec un Bureau extérieur au Japon, et contribue au développement économique et au progrès social de ses 53 Etats membres régionaux.

Pour plus d’information : http://j.mp/AFDB_Media

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Détection d’or : Minelab en pointe de la révolution

LE CAP, Afrique du Sud, 6 février 2013/African Press Organization (APO)/ — Minelab (http://www.minelab.com), le leader global de la technologie de détection d’or et des détecteurs de métaux portables a annoncé la création de la division Gold Mining pour assister les prospecteurs et mineurs artisanaux au Soudan, Soudan du Sud, Zambie, Sierra Leone, Éthiopie et Somalie. Cette création a été annoncée pendant la Conférence Mining Indaba qui se tenait aujourd’hui au Cap, en Afrique du Sud.

Logo: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/minelab-1.jpg

Photo GPX 5000: http://www.photos.apo-opa.com/index.php?level=picture&id=378

Photo GPX 5000 Product User: http://www.photos.apo-opa.com/index.php?level=picture&id=379

Photo Gold: http://www.photos.apo-opa.com/index.php?level=picture&id=380

La récente découverte d’une pépite d’or de 5,5 kg à Ballarat en Australie, à 60 cm de profondeur, par un prospecteur équipé d’un détecteur Minelab GPX 5000 démontre les avantages offerts par la technologie de pointe Minelab. Cette pépite de Ballarat a été évaluée à plus de 300 000 USD.

Dans toute l’Afrique, des prospecteurs ont aussi pu goûter au succès grâce au détecteur d’or GPX 5000. Récemment, un prospecteur a découvert au Mali une pépite de 1,2 kg. Au cours des derniers mois, la technologie de détection d’or Minelab a permis d’autres découvertes au Zimbabwe (1118 g), au Kenya (550 g) et en Guinée (276 g).

Après avoir lancé son premier détecteur d’or portable en Australie en 1985, Minelab est resté à la pointe de la conception et de l’innovation des détecteurs de métaux pendant ces 28 années. La division Gold Mining de Minelab apportera une assistance spécialisée sur le marché mondial de la prospection aurifère artisanale et à ses communautés.

Peter Charlesworth, directeur général de Minelab, a déclaré :

« La nouvelle division Gold Mining offre un portefeuille spécialisé de produits, d’accessoires et de services d’assistance. Elle inclut des formations sur le terrain et théoriques, qui nous permettent de fournir des conseils d’experts sur les meilleures méthodes d’utilisation des détecteurs d’or Minelab. Notre objectif est d’aider les mineurs à obtenir des résultats dans les conditions de minéralisation les plus difficiles, en bénéficiant d’une rentabilité optimale avec une perturbation minimale de l’environnement.

Dans les régions où l’exploitation minière de subsistance traditionnelle existe depuis plusieurs générations, Minelab offre sa technologie de pointe, fournit des formations et de l’assistance pour permettre à ces communautés de transformer leurs activités d’exploitation minière et leurs vies. Dans toutes les régions du monde, la technologie Minelab fait la différence en améliorant l’efficacité, la productivité et la sécurité des mineurs artisanaux.

Notre nouvelle division Gold Mining est un développement réellement passionnant. Nous pensons que grâce à nos produits spécialisés et à nos programmes de formation, nous pouvons mettre à la disposition de tout prospecteur sérieux les moyens d’une exploitation minière sûre, efficace et rentable ».

Sheila Kelleher, directrice de la division Gold Mining de Minelab, a déclaré : « Mining Indaba est la plateforme idéale pour le lancement de notre division Gold Mining. Cette conférence attire une audience globale de spécialistes du développement et des investissements dans une industrie dont dépend une population globale nombreuse. Nous espérons que la contribution de la division Gold Mining de Minelab continuera de développer les relations entre la prospection, les communautés et l’environnement, en renforçant l’utilisation de la technologie des détecteurs d’or portables Minelab pour faire progresser les entreprises et améliorer la vie des communautés avec lesquelles nous travaillons ».

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour Minelab International Ltd.

Demandes d’information

Contacts pour les agences

www.minelab.com/emea/where-to-buy

Minelab International Ltd

Unit 207, Harbour Point Business Park

Little Island, Co. Cork, Irlande

Tél. : +353 (0)21 423 2352

Fax : +353 (0)21 423 2353

E-mail : [email protected]

Informations supplémentaires

À propos de la technologie des détecteurs d’or manuels Minelab

Minelab a lancé son premier détecteur d’or portable sur le marché australien en 1985. Conçu par Bruce Candy, un physicien réputé, sa technologie révolutionnaire a bouleversé le monde de la prospection en permettant de détecter des pépites alluviales (d’un poids inférieur au gramme) dans des sols à forte minéralisation. Les produits Minelab dominent le secteur grâce à leur puissance de lecture des sols et leur sensibilité constante aux filons les plus fins à des profondeurs stupéfiantes.

À propos du détecteur d’or GPX 5000 Minelab

Le GPX 5000 Minelab est un détecteur d’or incomparable. Il est capable de détecter des pépites d’or de toutes les tailles, depuis les pépites de moins d’un gramme jusqu’à l’insaisissable pépite qui vous permettra d’arrêter de travailler, ou de tout ce qu’il y a entre les deux. Il intègre les technologies MPS, DVT et SETA leaders de l’industrie, combinées avec la capacité légendaire du GPX à lire à travers la minéralisation des sols pour atteindre des profondeurs remarquables sans perdre sa sensibilité aux plus petites pépites, grâce à l’Atout profondeur du GPX.

À propos de la gamme des détecteurs d’or Minelab

Les détecteurs d’or spécialisés de Minelab révolutionnent la recherche des pépites d’or dans certaines conditions de minéralisation parmi les plus difficiles de la planète. Depuis le X-TERRA 705 Gold Pack pour prospecteurs débutants, jusqu’au modèle Eureka Gold destiné à l’utilisateur plus expérimenté, ou les modèles GPX 4800 et GPX 5000 qui offrent des performances de pointe, chaque détecteur offre des fonctions et des avantages uniques. Mais tous intègrent la première technologie mondiale et la garantie Minelab des meilleures performancesk même dans les conditions de prospection les plus difficiles.

À propos de Minelab

Minelab (http://www.minelab.com) est une entreprise née et développée en Australie, plusieurs fois primée, qui a su conquérir les marchés internationaux et prendre le leadership global dans ses principaux domaines d’activité. Basée à Torrensville, en Australie du sud, avec des sièges régionaux à Cork en Irlande et à Chicago aux USA, Minelab est une entreprise spécialiste des technologies électroniques de pointe. Depuis sa création en 1985, Minelab est le fournisseur leader mondial des technologies de détection des métaux, pour les consommateurs et les besoins humanitaires de déminage. Grâce à son engagement dans la recherche, le développement et la conception innovante, Minelab est aujourd’hui un des principaux fabricants mondiaux de produits de détection de métaux portables. Depuis 28 ans, Minelab a introduit sur le marché plus de technologies innovantes et pratiques que tous ses concurrents, et a porté le secteur de la détection de métaux à de nouveaux niveaux d’excellence. Minelab est une entreprise du groupe Codan Limited (ASX: “CDA”).

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