A en croire des épidémiologistes lyonnais, la vitamine D n’a aucun effet de prévention des maladies non squelettiques.
En France comme partout ailleurs,surtout les femmes enceintes et les personnes âgées consomment de la vitamine D. Or, selon des chercheurs lyonnais cette vitamine ne serait pas si efficace que cela.
Cette analyse publiée dans la revue The Lancet Diabetes & Endocrinology souligne que la vitamine D n’a aucun effet de prévention des maladies non squelettiques.
Ce dont est sure c’est que la vitamine D est primordiale dans l’action d’absorption du calcium par le corps ce qui certifie son rôle dans la croissance des os et des muscles. Par contre à l’opposé de ce qu’un dit généralement dans certaines études, elle n’a aucun impact positif ni même négatif sur les maladies non liées au squelette, à titre d’exemple les maladies cardio-vasculaires, les cancers, la sclérose en plaque ou même la maladie d’Alzheimer.
Ainsi, les chercheurs lyonnais se sont penchés sur une multitude d’études, précisément 290, qui estiment le taux de vitamine D chez des patients, et 172 autres dites permettant aux chercheurs d’analyser les effets de la vitamine D.
Les scientifiques tirent la conclusion qu’il est strictement impossible de prouver la relation positive entre la vitamine D et les maladies non squelettiques.
