François Hollande a réagi, mardi 7 mai, à cette violente critique amère au cours d’une conférence de presse organisée à l’Elysée avec son homologue polonais, Bronislaw Komorowski.
« La question de la menace qui est rappelée par Aqmi, nous la prenons au sérieux », a-t-il lancé.
Le chef de l’État a ajouté « Nous avons infligé des pertes considérables à Ami par l’intervention au Mali, mais les réseaux d’Aqmi existent en dehors du Mali ».
Appelant « il nous faut poursuivre, et l’intervention au Mali pendant le temps nécessaire – même s’il y a une réduction de notre présence -, et maintenir une vigilance autour du Mali pour continuer à lutter contre le terrorisme ».

Espérant qu’un autre scénario Irak 2003 ne se répète pas. Car comme les Etats Unis regrettent l’invasion de l’Irak les plongeant dans la dette et la crise après l’autre. La France, déjà en crise, pourrait avoir le même sort avec le Mali.
La réaction de François Hollande :