Le ministre des Affaires étrangères, Rafik Abdessalem, a rencontré mardi, à Londres où il avait passé près de 15ans, plusieurs hommes du royaume dont le vice-président de la chambre des communes Nigel Evans ainsi que plusieurs députés britanniques.
M. Abdessalem a évoqué, selon le communiqué, “le processus démocratique en Tunisie ainsi que les dimensions politiques et économiques passant en revue les réalisations accomplies depuis le 14 janvier en vue de consacrer la démocratie, l’Etat de droit et des institutions”.
M. Abdessalem a souligné à cette occasion l’importance de la cohésion des composantes de la société tunisienne autour des valeurs de juste milieu, de tolérance et d’ouverture, ainsi que l’attachement à préserver les acquis modernistes de la Tunisie.
Le ministre a salué l’appui du Royaume-Uni à la révolution tunisienne exprimant la volonté d’intensifier la coopération bilatérale et de tirer profit de l’expérience démocratique britannique, a ajouté la même source.
Les députés britanniques ont salué la transition démocratique en Tunisie, réaffirmant la volonté de la Grande Bretagne de poursuivre l’appui à la Tunisie et de contribuer à la réussite de la transition politique à l’instar des programmes de formation en matière électorale qui avaient été réalisés en Tunisie en coopération avec des organisations britanniques.
Le ministre a aussi rencontré des ambassadeurs arabes accrédités à Londres. Il a présenté à cette occasion un exposé sur la situation économique, politique et sociale dans le pays, exprimant la volonté de la Tunisie de renforcer la coopération et le partenariat avec les pays arabes.
Il a aussi présenté des éclaircissements sur les positions de la Tunisie concernant certaines questions arabes d’actualité.
Le ministre a aussi rencontré des représentants de la communauté tunisienne établie à Londres. La rencontre a offert l’occasion de s’informer et de prendre connaissance de leurs préoccupations et attentes.
1 commentaire sur “Tunisie: Rafik Abdessalem Bouclaka revient au berceau”
al07
(30 mars 2012 - 10h39)Êtes vous bien sur qu’il en soit sorti ? En effet « monsieur gendre » à toujours
besoin de « beau papa cheik Rached pour exister » !
Mais,de toutes façons,il aurait mieux fait d’y rester,dans son berceau,la Tunisie
s’en porterait mieux…..A moins qu’il ne veuille instituer une monarchie avec
Madame Bouclaka comme reine ??