Noureddine B’hiri, ministre de la Justice, a réagit le lundi 16 janvier 2012 suite à la vague d’informations selon lesquelles son frangin aurait bénéficié d’une amnistie en raison des liens de parenté liant les deux hommes. Il a indiqué que son frère a été gracié après avoir rempli les conditions requises précisant que son dossier a été présenté devant une commission comme tout autre individu.
M. B’hiri a nié tout avantage accordé à son frère dans les dernières décisions d’amnistie et de liberté conditionnelle annoncées à l’occasion du premier anniversaire de la Révolution.
Il a démenti les informations qui indiquent que son frère a été condamné à 11 ans de prison tout en précisant qu’il purgait une peine de 4 ans et ayant déjà passé plus de 3 ans et 2 mois.
