Dans une déclaration à radio Mosaïque fm, l’agent Bassem Haj Yahia a déclaré que des terroristes se sont installés dans une zone du Mont Châambi, où ils avaient aménagé un camp d’entrainement et de résidence.
Il a également ajouté que les brigades, opérant le ratissage au sol, se doutaient des dangers et des risques de tomber sur des endroits minés. Mais guidés par un devoir envers la nation et manquant de moyens, ils n’avaient pas d’autres choix que de continuer les fouilles. « J’ai sacrifié ma jambe pour épargner des vies innocentes », a-t-il ajouté en émotion.

D’autres cas ont été signalés sur la même zone qui a été mis en quarantaine par l’armée nationale. L’agent de la garde nationale, Bassem Haj Yahia, qui a été amputé de la jambe droite suite à l’explosion d’une mine terrestre à Jebel Chaambi, est revenu sur les circonstances de son « accident » :